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Des crèches scolaires pour plus d’enseignantes & d’enfants épanouis

 

LE DÉFI

Selon le dernier indice de l’inégalité entre les sexes des Nations Unies, l’Afghanistan est l’un des endroits les plus difficiles où vivre en tant que femme.[1]

 

Les violations des droits des femmes sont multiples et présentes aussi bien dans la sphère publique que dans la sphère privée : violences, accès à l’éducation restreint ou inexistant, manque de formation et d’équipements appropriés du personnel médical, absence de perspectives économiques.

La création d’opportunités économiques est un défi majeur pour le pays, dont le taux de chômage culmine à 40% en 2016. Les femmes afghanes sont particulièrement touchées par le chômage et ne représentent que 19% de la population active. (Données 2016 de l’OIT)

 

Il existe également d’importantes disparités en matière d’éducation. Sous le régime des Talibans, l’éducation des jeunes filles était interdite, et même si cette interdiction a été levée, les filles et les femmes afghanes luttent encore quotidiennement pour accéder à l’éducation. Seules 24% des femmes afghanes savent lire et écrire (Banque Mondiale, 2015). Plus d’un tiers des enfants en Afghanistan n’ont pas accès à l’école, et 75% des enfants déscolarisés sont des filles. [2] Par ailleurs, seulement 30% des 220,000 instituteurs dans le pays sont des femmes.[3]

 

Enfin, bien que l’école ne commence qu’à 6 ans, aucune structure n’est prévue pour l’éducation de la petite enfance, notamment dans les zones rurales. L’Afghanistan enregistre l’un des plus fort taux de malnutrition infantile au monde, avec 41% des enfants de moins de 5 ans qui souffrent de malnutrition chronique.  

 

[1]http://hdr.undp.org/en/indicators/68606

[2]https://unama.unmissions.org/un-report-urges-afghanistan-recruit-female-teachers-locally-boost-girls%E2%80%99-education

[3]http://wadsam.com/afghan-business-news/for-more-women-teachers-in-afghanistan-ministry-of-education-promoting-equality-in-education-232/

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Notre partenaire de terrain, Afghanistan Libre, œuvre pour améliorer la vie des femmes afghanes depuis plus de 20 ans, en favorisant leur autonomie et en les sensibilisant sur leurs droits pour qu’elles puissent être actrices du développement durable de leur pays.

 

Afin de garantir la pérennité de son action, l’association sensibilise et implique tous les membres de la communauté dans les programmes mis en place pour permettre aux femmes de s’émanciper, pour elles-mêmes, pour leur famille et pour l’Afghanistan.

 

L’association gère aujourd’hui 6 écoles en Afghanistan et depuis 2004, a ouvert 4 crèches scolaires, qui accueillent actuellement 100 enfants d’institutrices. Cette innovation sociale pour l’Afghanistan permet aux professeures d’accéder à une solution de garde dans un lieu sûr pour leurs enfants et d’exercer ainsi leur métier sereinement et de manière assidue.

 

 Ce programme offre aux enfants un accès aux soins et à l’éducation, pour pouvoir se développer dans les meilleures conditions possibles. Pour les enfants, ces crèches sont une assurance d’avoir au moins un repas par jour équilibré et une prise en charge chaleureuse avec du personnel formé à l’éveil de l’enfant. Les enfants peuvent bénéficier de différents modes d’apprentissage, notamment par le dessin, la musique et les jeux collectifs.

 

Le projet propose également aux éducatrices des formations continues sur l’éveil de l’enfant, afin de développer de nouvelles activités pédagogiques. Des formations en nutrition seront également proposées aux cuisinières pour les aider à préparer des plats équilibrés.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Grâce à votre générosité, Afghanistan Libre pourra maintenir et développer son programme de crèches, permettant à des centaines d’enseignantes de continuer à exercer leur métier et d’être indépendantes financièrement.

 

De plus, votre généreux soutien permettra de renouveler et d’améliorer le matériel pédagogique ainsi que les infrastructures afin d’accueillir, en plus des enfants d’enseignantes, des enfants qui souffrent de malnutrition, qui ont besoin d’un suivi médical et/ou dont la mère est seule ou travaille toute la journée. 

 

Grâce à votre don nous pourrons leur offrir un meilleur accès aux soins en mettant  en place un suivi médical avec un carnet de santé pour chaque enfant et la visite régulière d’un médecin.  

 

Enfin, en permettant à un plus grand nombre de femmes d’accéder à des postes d’institutrices, nous encourageons l’éducation des filles que la communauté laisse davantage rejoindre les bancs de l’école quand les cours sont dispensés par des femmes. En permettant à un plus grand nombre de filles d’avoir accès à l’éducation, qui deviendront pour certaines d’entre elles de futures institutrices, nous créons un cercle vertueux pour renforcer le système éducatif en Afghanistan !

 

En offrant à ces femmes l’opportunité de devenir autonomes et indépendantes, nous leur donnons la possibilité d’être des membres actifs de leur société, contribuant ainsi au développement de leur pays et à la réduction de la pauvreté.

 

Là où l’éducation des femmes progresse, la démocratie progresse

Chékéba HACHEMI, Présidente d’Afghanistan Libre

PROMOUVOIR DES FEMMES DU GUATEMALA GRÂCE À L’ÉDUCATION ET AU MICROCRÉDIT

LE DÉFI

Actuellement, plus d’un dixième de la population lutte pour survivre avec moins d’1,25$ par jour et plus d’un quart des familles guatémaltèques vivent dans une « pauvreté multidimensionelle », n’ayant pas accès à l’éducation, aux soins médicaux et à un niveau de vie décent.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de terrain de W4, Friendship Bridge, offre aux femmes guatémaltèques pauvres issues des zones rurales l’opportunité de créer leur propre activité génératrice de revenus dans le cadre du programme « Microcredit Plus ».

 

Les femmes défavorisées des zones rurales, à l’instar de Juana, bénéficient de microprêts ainsi que de formations complémentaires en gestion financière, en management (marketing artisanal par exemple), mais aussi en matière de droits des femmes et d’estime de soi.

L’IMPACT DE VOTRE DON

En finançant un microcrédit, vous pouvez fournir un capital de départ à des femmes guatémaltèques, leur permettant ainsi d’acheter l’équipement ou le stock nécessaire pour développer une petite entreprise. À travers l’éducation dispensée dans le cadre du programme Microcredit Plus, également financée par vos dons, les femmes acquièrent des compétences, des connaissances et renforcent leur confiance en elles.

 

Grâce à son microprêt, Juana a transformé son étalage en commerce florissant. Désormais, elle peut envoyer ses deux enfants les plus jeunes à l’école ! « Je veux que mes filles sachent qu’elles peuvent faire ce qu’elles veulent, et je crois qu’elles en ont conscience en étant témoins de mon succès. Je leur apprends qu’il faut travailler dur mais qu’elles peuvent réaliser leurs rêves ».

 

Aidez des femmes au Guatemala comme Juana à obtenir le soutien financier et éducatif nécessaires pour voir les choses en grand et devenir des entrepreneures prometteuses !

Pourquoi nous financer ?

Nous ne voulons pas la charité mais plutôt un soutien sur le long terme pour trouver des solutions durables contre la pauvreté et investir dans le potentiel que représentent les filles et les femmes. A travers notre programme de microfinance, nos clients apprennent à gérer leur entreprise, ils contribuent ainsi au renforcement de l’économie guatémaltèque et offrent de meilleures perspectives à leur famille.

Les femmes et les enfants au Soudan du Sud - Hope Ofiriha

Sauver de la famine des femmes et des enfants du Soudan du Sud grâce à un moulin à moudre

Le défi

Au Soudan du Sud, les problèmes alimentaires (famine, insécurité alimentaire) touchent près de la moitié des habitants du pays, soit quelque 4,7 millions de personnes. Les plus touchées par cette terrible crise alimentaire sont les jeunes filles et les femmes pauvres.

 

Dans le village d’Omilling, la récolte du maïs assure à peine de quoi survivre à la population. Mais à quel prix ? Chaque jour, pendant d’interminables heures et en position agenouillée, les jeunes filles et les femmes s’occupent de moudre le maïs à la main pour en faire une poudre utilisée dans la préparation d’un porridge local appelé « Ogali ». Chaque jour, cette position agenouillée accentue un peu plus les douleurs au dos et aux articulations de ces personnes. Mais elles n’ont pas d’autres choix pour permettre à leur communauté de se nourrir. Ces sacrifices physiques sont, malheureusement d’ailleurs, souvent insuffisants. Il faut plusieurs mois pour préparer l’« Ogali » et de nombreux enfants meurent pendant le temps de la préparation, trop long pour des petites bouches affamées.

Les solutions que nous proposons

Le projet de terrain de W4, Hope Ofiriha, œuvre pour l’éradication de la famine et pour réduire la charge de travail des femmes et des jeunes filles. Le projet « moulin à moudre » a pour objectif d’apporter dans le village d’Omilling un moulin à moudre fonctionnant au diesel. Cet objet permet en effet d’intensifier la production de poudre de maïs, avec environ 1000 kg de maïs moulu, par heure. Le moulin à moudre est une solution efficace à de multiples titres : il assure une source durable de nutrition pour la communauté, il permet aux filles et aux jeunes femmes d’être moins exposées aux douleurs physiques et à l’épuisement, il leur libère aussi du temps, pour qu’elles puissent aller à l’école, se former, et mettre en place des activités rémunératrices. 

L’impact de votre don

Soutenez cette initiative terrain dès aujourd’hui. Votre don permettra aux filles et aux femmes d’Omilling de se frayer un chemin vers un avenir meilleur.

 

 

femmes et filles afghanes victimes de violences physiques, sexuelles ou psychologiques

AIDER DES FILLES ET FEMMES AFGHANES A OBTENIR UN SUIVI PSYCHOSOCIAL

LE DÉFI

Les 35 années de guerre dont l’Afghanistan a été le terrain ont laissé des traces considérables dans la vie des femmes afghanes. Déjà exposées quotidiennement à la pauvreté, à l’insécurité et au mariage précoce ou forcé, plus de 85 % des femmes afghanes ont connu des violences physiques, sexuelles ou psychologiques au cours de leur vie, provoquant de nombreux cas de dépression, d’anxiété et de stress post-traumatique. Ces souffrances peuvent avoir des conséquences dramatiques sur la vie des femmes afghanes : environ 2 000 femmes et filles tentent chaque année de se suicider en s’immolant par le feu.

 

De plus, lorsqu’elles montrent des signes de souffrances psychologiques, de nombreuses femmes sont rejetées par leur communauté. Elles se retrouvent alors seules, sans possibilité de s’émanciper financièrement. Privées de soutien, ces femmes disposent de peu de moyens pour améliorer leurs vies.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Chaque semaine, Afghanistan Libre soutient plus de 80 femmes et filles afghanes victimes de violences physiques, sexuelles ou psychologiques en leur donnant accès à une aide psycho-sociale ainsi qu’à des activités thérapeutiques de groupe. Ce programme de soutien permet à ces femmes et filles d’exprimer leur ressenti – un grand pas vers l’acceptation de soi et le bien-être.

 

En regagnant confiance en elles, les femmes améliorent leurs capacités à travailler, à apprendre, à se confier librement aux travailleurs sociaux et à protéger leurs droits. Afin d’aider les femmes à tirer parti de cette force et de cette nouvelle autonomie, le programme les encourage à prendre part à des sessions de formation aux métiers de l’artisanat, à la gestion d’entreprise sociale ainsi qu’à la création de groupes communautaires favorisant la mise en place d’activités génératrices de revenus.

 

En plus du programme de soutien, le partenaire de terrain de W4 met en place des sessions de sensibilisation à l’éducation des filles et promeut l’apprentissage des soins de santé basiques au sein du centre psycho-social qui accueille les femmes. Afghanistan Libre organise également des discussions sur des sujets tels que les droits humains, les coutumes et traditions, et propose des médiations aux conflits familiaux. Le programme aide chaque mois plus de 400 filles et femmes, ainsi que des membres de leur famille et de leur communauté.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Sans votre don, ce projet n’existerait pas. Grâce à des gens comme vous, les filles et femmes afghanes ont accès à des soins médicaux et à un soutien psycho-social, ce qui leur offre une chance de reconstruire leur vie, de sortir de l’isolement, de partager leurs expériences et de surmonter leurs peurs.

 

Aidez-nous à faire en sorte que les souffrances subies par ces femmes ne soient pas l’unique chose qu’elles connaissent. Leur santé psychologique a des répercutions non seulement sur leur vie, mais également sur celle de leur famille et de leur communauté.

Pourquoi nous financer ?

En offrant à ces femmes l’opportunité de devenir autonomes et indépendantes, nous leur donnons la possibilité d’être des membres actifs de leur société, contribuant ainsi au développement de leur pays et à la réduction de la pauvreté.

Là où l’éducation des femmes progresse, la démocratie progresse

Chékéba HACHEMI, Présidente d’Afghanistan Libre

Maison des femmes - W4

La première Maison des Femmes en France : pour une prise en charge globale des victimes de violence

LE DÉFI

En 2016, en dépit des progrès humanitaires et sociaux considérables réalisés au cours des dernières décennies, la violence envers les filles et les femmes reste une pandémie mondiale. La violence envers les femmes ne connaît pas de frontière ni géographique, ni sociale. C’est la plus répandue des violations des droits humains. 1 femme sur 3 dans le monde souffre de violences physiques ou sexuelles au cours de sa vie. En France, en 2015, 122 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint.

 

En plus des dégâts dévastateurs en termes de douleur et de souffrance humaines pour les victimes et leur famille, ces violences ont un coût économique énorme pour les sociétés dans leur ensemble en termes d’aides sociales, de soins et de capacité de production. En France, ce montant s ‘élève à 3,6 milliards d’euros par an.

 

Après des années passées au sein de la maternité de l’hôpital Delafontaine en Seine Saint Denis, Ghada Hatem, ancienne cheffe de la maternité s’est penchée sur la question des violences et a constaté que 14% des femmes qui ont accouché à la maternité sont victimes d’excision et qu’une victime de violences perdait entre 1 et 4 années de vie en bonne santé.

 

Face au manque de financement adéquat et à l’absence de solutions holistiques et pérennes pour faire face à cette violence endémique, Ghada Hatem a décidé de créer une Maison des Femmes en Seine Saint Denis pour aider les femmes victimes de violence.

 

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

La Maison des femmes crée un lieu unique, lien entre la ville et l’hôpital en favorisant une synergie entre des structures existantes. Lieu d’accueil et d’orientation pour les femmes victimes de violences, il réunit à la fois les services d’un planning familial et les services d’une unité dédiée à la question des violences incluant un centre de prise en charge des mutilations sexuelles.

 

Les femmes sont prises en charge par une équipe pluri-disciplinaire qui va pouvoir assurer un suivi global et coordonné. Au cours d’un entretien préliminaire, l’équipe évalue les besoins et l’urgence des réponses. Les femmes sont alors orientées vers la psychologue, l’assistante sociale, le médecin ou le chirurgien pour les mutilations sexuelles. Lorsque la situation le nécessite, la femme est adressée à l’un des avocats du réseau.

 

Des groupes de parole sur l’excision, des ateliers de restauration de l’estime de soi, des séances d’ostéopathie, de relaxation, et même des cours d’alphabétisation sont proposés.

 

La Maison des femmes a également pour vocation de former les professionnels de santé à repérer les situations de violences pour pouvoir y apporter des solutions adaptées. 

 

Enfin, le partenaire de terrain de W4 va développer des actions de sensibilisation dans les écoles autour de la question des violences envers les femmes pour travailler à faire évoluer les comportements et les mentalités par l’éducation.

 

L’IMPACT DE VOTRE DON

En contribuant à ce projet, vous aidez la Maison des femmes à offrir aux femmes victimes de violences une prise en charge adaptée à chaque profil de victimes. Les femmes ont alors davantage de chance d’aller au terme de leur parcours de soins et vont pouvoir surmonter grâce au soutien de professionnels qualifiés les freins administratifs, juridiques ou médicaux auxquels elles sont confrontées.

 

Votre générosité va permettre d’aider ces femmes à briser le cercle de la violence auquel elles font face parfois depuis plusieurs années. Ces femmes vont pouvoir retrouver confiance en elles. 

 

Cette maison a été inaugurée en juillet 2016. Elle doit maintenant assurer la pérennité de son fonctionnement et poursuivre l’équipement de ses locaux (projet de création d’un jardin, d’une kitchenette). La campagne de crowdfunding a pour objectif de financer l’embauche de nouveaux soignants et notamment une assistante sociale pour améliorer l’accompagnement social des patientes, ainsi que des services offerts aux patientes en proposant notamment des ateliers de photos, d’esthétique pour améliorer l’estime de soi et pouvoir toujours mieux répondre à leurs besoins. 

 

Aidez-nous à financer ce lieu unique, premier centre de ce type en France qui va offrir une solution innovante et globale pour les victimes de violence. Offrez aux femmes un refuge pour se soigner, se reconstruire et pouvoir envisager ainsi un avenir meilleur, à l’abri des  violences.

Les filles d'aujourd'hui, la Syrie de demain - W4

Les filles d’aujourd’hui, la Syrie de demain #ELLESPOURDEMAIN

 

 

« Aidons les filles à changer le monde »

 

Croire au changement du monde, c’est d’abord oser croire en soi.

 

Oser être ambitieuse. Afin de pouvoir faire, pouvoir agir en faveur de l’égalité et la parité.

 

Toute femme, dans tout pays, sait combien ce travail d’estime de soi et d’ambition est un long chemin. 

 

C’est ce temps que nous voulons faire gagner à nos filles. 

 

C’est pourquoi, depuis près de huit ans, Le Fonds pour les Femmes en Méditerranée finance des associations de terrain (200 projets soutenus à ce jour) afin que, très tôt, petites et jeunes filles aient assez d’estime et de confiance en elles pour y puiser la capacité à changer les mentalités, et le monde. Avec force et stratégie, à la fois.

 

Cette année, le Fonds pour les femmes en Méditerranée lance la campagne « Aidons les filles à changer le monde ». Nous y soutiendrons particulièrement les projets qui luttent contre les violences faites aux filles et aident à leur éducation et leur formation, dans 21 pays de Méditerranée, France, Syrie, Maroc, Croatie, Espagne, Tunisie…

 

 Pour nous, une fille, ça compte.

 

Nous soutenir, c’est le lui dire. 

 

 

LE DÉFI

Au cours des cinq dernières années, la Syrie a été le théâtre d’une terrible guerre civile, qui a fait près de 250 000 victimes parmi les civils.

 

Les femmes et les filles sont celles qui sont le plus impactées par ce conflit. Bien que les hommes autant que les femmes subissent quotidiennement des violations de leurs droits humains, incluant le droit à la vie, à la sécurité, à la dignité et souffrent par conséquence de grandes difficultés économiques et psychologiques, les femmes et les filles sont toutefois exposées à l’horreur supplémentaire que constituent les violences sexuelles, les violences basées sur le genre et les mariages forcés. On estime que 7,5 millions de personnes dont une grande majorité de filles et de femmes ont été déplacées au sein du pays et que plus de 3,5 millions de femmes et d’enfants ont trouvé refuge dans les pays voisins.

 

Aujourd’hui, ces femmes se battent pour répondre aux besoins les plus basiques de leur famille. Elles sont particulièrement anxieuses à l’idée de garantir à leurs enfants une éducation continue et de qualité. Dans la mesure où plusieurs écoles ont été détruites, les enfants sont souvent contraints de devoir parcourir de très longues distances, uniquement pour pouvoir apprendre à lire et à écrire. Concernant les petites filles, la situation est encore plus compliquée puisque les menaces sécuritaires et l’exposition au harcèlement et aux violences sexuelles, limitent encore plus leur mouvement. 

 

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

En réponse à la situation urgente en Syrie, nos partenaires de terrain « Fonds des femmes pour la Méditerrannée » et « Women Now for Development » mettent en place des centres de formation pour fournir aux femmes et aux filles en Syrie, mais également aux réfugiés au Liban et en Turquie, un accès à un lieu sûr. Des formations sont offertes aux femmes, incluant des cours de tricot, de couture et de coiffure dans le but d’être mieux équipées pour répondre aux besoins de leur famille.

 

Par ailleurs, nous garantissons l’accès à une éducation de qualité pour ces jeunes filles syriennes, en leur permettant de poursuivre leurs études et d’apprendre la vie citoyenne. La scolarité de leurs enfants est la priorité numéro 1 pour les mères syriennes. Lorsqu’on les questionne au sujet de leurs besoins, les femmes sont claires : « Nous avons besoin de manuels scolaires ! Plus que de nourriture et de médicaments ».

 

Le partenaire de terrain de W4 fournit également aux femmes ayant subi un traumatisme dû à ce conflit sans fin, un support psychologique, en plus d’ateliers sur les droits légaux et politiques des femmes. 

L’IMPACT DE VOTRE DON

Depuis sa création, « Women Now for Developement » a mis en place sept centres de formation au Liban et dans des zones contrôlées par le gouvernement syrien, permettant ainsi d’atteindre 10 000 femmes et 6 000 enfants.

 

Votre contribution leur permet de continuer leur travail vital qui consiste à fournir un soutien psychosocial et des formations en renforcement de capacité pour les filles et les femmes syriennes déplacées à cause du conflit.

 

Dans certaines zones, Women Now for Developement constitue la seule ressource disponible pour combler le vide créé par l’effondrement complet du gouvernement et des organisations de la société civile.

 

Grâce à votre générosité, les femmes et les filles syriennes ont une opportunité de construire leur confiance en soi et apprennent à s’affirmer au sein de leur famille.

 

Les petites filles, en voyant leurs mères devenir autonomes, les regardent avec fierté et admiration, ce qui contribue en retour à aider les filles à construire leur propre estime de soi et leur propre résilience.

 

Avec votre aide, les jeunes filles syriennes peuvent continuer leurs études, construire leur estime de soi et devenir des membres actives au sein de leurs communautés.

#ELLESPOURDEMAIN

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Gift card

LE DÉFI

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

L’IMPACT DE VOTRE DON

POURQUOI NOUS FINANCER ?

Mettre fin à l’excision des jeunes éthiopiennes

Mettre fin à l’excision des jeunes éthiopiennes et les protéger contre les violences.

 

LE DÉFI

« Il n’existe aucun motif lié au développement, à la religion ou la santé qui puisse justifier de mutiler une fille ou une femme. » Ban Ki-moon, Secrétaire Général des Nations Unies

 

L’UNICEF estime que 125 millions de filles et femmes en Afrique et au Moyen Orient ont subi une forme de Mutilations Génitales Féminines (MGF). En Ethiopie, ce sont près de 23,8 millions de filles et femmes qui en ont été victimes.

 

L’excision, aussi appelée Mutilations Sexuelles Féminines (MSF) ou Mutilations Génitales Féminines (MGF), recouvre toutes les interventions incluant l’ablation partielle ou totale des organes sexuels externes de la femme ou autre lésion des organes sexuels féminins.

 

En Ethiopie, 74% des femmes âgées de 15 à 49 ans ont subi des MGF et près de 25% des filles âgées de moins de 14 ans sont toujours soumises à cette pratique néfaste.

 

Les MGF sont une violation des droits fondamentaux des femmes et des filles, préjudiciable pour leur santé, causant des traumatismes physiques et psychologiques, et pouvant entrainer de sérieuses complications médicales – douleurs, hémorragies, difficulté à uriner, infections dangereuses (y compris le VIH), risques accrus de complications pendant l’accouchement et d’enfants mort-nés – . Cette pratique peut même parfois s’avérer fatale.

 

Les violences envers les filles et les femmes sont largement répandues en Ethiopie. En 2012, près de 50% des femmes en Ethiopie étaient victimes de violences et on estime que 59% des femmes ont subi des violences sexuelles par leur partenaire une fois dans leur vie! (Source Oxfam)

 

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

 

Les partenaires de terrain de W4,  Un Enfant par La Main et ChildFund Ethiopia cherchent à  mettre fin à cette pratique dangereuse des MGF dans 5 villages du district de Bassona Worana en Ethiopie en sensibilisant les exciseuses traditionnelles, les élèves, les professeurs et l’ensemble de la communauté à ses dangers.

 

Le programme adopte une approche holistique : il entend sensibiliser l’ensemble des membres de la communauté à propos des MGF et des violences envers les filles et les femmes, fournir des formations et des services de renforcement des compétences pour les écoles, les institutions locales et les leaders religieux et proposer également aux exciseuses traditionnelles des formations professionnelles pour qu’elles puissent bénéficier de sources de revenus alternatives.

 

Le programme proposé est composé des éléments suivants :

 

Sensibilisation et formation en activités génératrices de revenus auprès de 75 exciseuses

  • Le travail avec ses femmes passera par de la sensibilisation aux dangers de ces pratiques mais aussi par des formations pour qu’elles soient en mesure de trouver des sources alternatives de revenus. Elles seront soutenues individuellement ou en groupe pour démarrer leur nouvelle activité.

 

Sensibilisation, formation et services  pour  lutter contre les MGF et les violences envers les filles auprès des élèves (5000 filles et garçons)  et  164 enseignants(es) en milieu scolaire

 

Insultes ou gestes à caractère sexuel, demande de rendez-vous, contrepartie sexuelle pour de meilleurs résultats scolaires … autant de violences subies par les jeunes filles du primaire et du secondaire.

  • Afin de les dénoncer, des messages radio seront diffusés tous les 15 jours pendant 11 mois au sein de chaque école et auprès des élèves. Ils mettront en avant les services à contacter en cas de violence, les procédures à suivre et comment agir.
  • Des formations seront dispensés aux professeurs et à des élèves issus des clubs scolaires, très populaires en Ethiopie ; des manuels d’information et des codes de conduite seront créés par les élèves et distribués dans les 6 écoles. 

 

Sensibilisation et formation auprès de tous les villageois(es) et les institutions locales

 

La violence n’ayant pas sa source qu’à l’école, ce sont les villages dans leur ensemble qu’il faut impliquer, les femmes et les hommes ! Mais aussi les services judiciaires, les centres de santé, les leaders religieux et les Idirs qui sont une des formes les plus anciennes d’associations en Ethiopie et qui sont très présentes dans les villages. 

  • Des formations spécifiques pour renforcer les capacités des institutions et des groupes de parole entre les habitants permettront de briser les tabous sur les violences sexistes subies par les filles et les femmes, les pratiques traditionnelles néfastes, telles que les mariages précoces, la préférence pour les garçons, l’excision…

L’IMPACT DE VOTRE DON

Des jeunes filles et des femmes protégées grâce à vos dons !

  • Abandon des MGF grâce à la mise en place de nouvelles activités génératrices de revenus pour les exciseuses.
  • Diminution de l’abandon scolaire et des redoublements des filles au primaire et secondaire, et réduction des inégalités femmes-hommes au niveau de l’enseignement secondaire et supérieur.
  • Parents sensibilisés quant aux questions d’égalité des sexes et encouragés à envoyer leurs filles à l’école et à les considérer de la même façon que leurs garçons ;
  • Mécanismes de prévention, de détection, de traitement des victimes et de sanction des auteurs de violences optimisés grâce à une meilleure compréhension et prise de conscience des questions de genre au niveau des structures administratives locales, des Idirs, des institutions religieuses, des centres de santé, des écoles et du système judiciaire ;
  • Augmentation à court terme des déclarations d’actes de violence, du fait d’une meilleure connaissance et de leur prise en compte à tous les échelons de la société ; puis diminution sur le long terme ;
  • Traitements appropriés pour les victimes.

Pourquoi nous financer ?

Mariages précoces, violences sexistes à l’école, excision, asservissement des filles, valorisation des garçons … autant de violences subies par les filles encore aujourd’hui.

 

Protéger les filles et les femmes de ces violences, c’est respecter leurs droits !

 

Alors agissez dès aujourd’hui et aidez-nous à mettre fin aux violences faites aux filles aujourd’hui pour des femmes libres demain !

 

Project – Donate to W4

LE DÉFI

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

L’IMPACT DE VOTRE DON

POURQUOI NOUS FINANCER ?

Empow’Her - W4

Centre de formation et d’accompagnement à l’entrepreneuriat pour les femmes en Côte d’Ivoire

LE DÉFI

Plus de 75% des femmes en Côte d’Ivoire vivent sous le seuil de pauvreté et luttent chaque jour pour subvenir à leurs besoins. Les femmes ivoiriennes font face à des obstacles sociaux et économiques multiples qui les empêchent de briser le cycle de la pauvreté.

 

Les femmes gagnent, en moyenne, 59% de moins que les hommes et exercent, pour la plupart, des activités peu rémunératrices, bien souvent agricoles, destinées à assurer l’autosuffisance alimentaire du foyer. 50% des femmes ivoiriennes n’ont jamais été à l’école ce qui les pénalise encore plus sur le marché de l’emploi et les empêche d’obtenir des emplois sûrs et décents. Pourtant, ces femmes ont un fort potentiel entrepreneurial de création de richesse, de valeur sociale et d’emploi : 60% des entrepreneurs en Côte d’Ivoire sont des femmes, l’un des plus fort taux d’entrepreneures au monde.

 

Les femmes ont besoin d’opportunités en matière d’éducation et de formation, afin de libérer leur potentiel entrepreneurial, de créer des emplois, générer des revenus et briser ainsi le cycle de la pauvreté.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de terrain de W4, Empow’Her, œuvre afin d’offrir à de nombreuses femmes, issues de communautés pauvres en Côte d’Ivoire, des programmes éducatifs et des formations professionnelles dont elles ont besoin pour créer des activités génératrices de revenus. A travers une combinaison de programmes de formation, de renforcement de compétences, et d’accompagnement (visant à aider les femmes à développer leur confiance en soi, leurs capacités décisionnelles et de leadership), Empow’Her aide ces femmes vulnérables à acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour mettre en place des moyens de subsistance, générer des revenus, et sortir leurs familles de la pauvreté. Le programme contribue à donner aux femmes l’opportunité de devenir actrices de leur vie en les aidant à faire entendre leurs voix et à renforcer leur pouvoir de décision au sein de leurs communautés locales.  

 

Empow’Her souhaite aujourd’hui créer un « hub » en Côte d’Ivoire : un centre dédié à l’éducation et à la formation des femmes, au sein duquel elles peuvent bénéficier de ressources, accéder à un réseau de soutien, aux services nécessaires à la mise en place d’entreprises durables. Le « hub » aidera les femmes des communautés pauvres, y compris les femmes qui n’ont pu avoir qu’un accès restreint à l’éducation jusqu’ici.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Votre soutien permettra à des centaines de femmes de bénéficier d’opportunités en termes d’éducation et de formation et leur offrira la chance de bâtir un avenir meilleur, et de créer leurs propres solutions économiques afin de sortir leurs familles de la pauvreté.

 

Rejoignez-nous pour atteindre ces objectifs :

 

–        Permettre à des femmes vulnérables, issues de communautés pauvres, de développer leur potentiel entrepreneurial ;

–        Permettre aux femmes de générer des revenus durables en exerçant une activité économique valorisante pour subvenir à leurs besoins et ceux de leurs familles ;

–        Améliorer le statut des femmes dans leurs communautés locales en leur permettant d’être actives économiquement, autonomes et de faire entendre leurs voix ;

–        Favoriser l’émergence de femmes en tant que « role model » pour d’autres femmes et filles dans leurs communautés locales et promouvoir une plus grande égalité entre les sexes, mettant en lumière le potentiel des femmes et des filles.

 

POURQUOI NOUS FINANCER ?

Il est temps d’investir dans le potentiel des femmes !

 

« LEAD Africaines a décidé de s’associer à Empow’Her pour sortir les femmes de l’entrepreneuriat de la nécessité, de l’informel et de la seule logique de lutte contre la pauvreté pour en faire formellement des créatrices de richesses et des entrepreneures d’envergure ».

 

Georgette Soukou, Présidente de l’association LEADAFRICAINES