How can you help?

Do you want to change the world? You're in the right place! Join us at W4 in empowering girls and women for the benefit of everyone! You can donate to our projects around the world, launch your own team fundraiser, (e-)volunteer your skills and/or spread the word about our work!

How does it work?

Choose one or more projects you care about from our portfolio of projects around the world, make a donation and see the life-changing, even life-saving, impact of your giving!

How does it work?

Create your own uber-cool fundraising team to raise funds for (a) project(s) you care about, then invite your friends/colleagues/family to donate and change the world with you! Multiply the good and multiply your impact!

How do gift cards work?

Offer a friend/colleague/loved one a unique, unforgettable gift with a W4 gift card! When you offer a W4 gift card, the recipient of your gift can choose a project to support from among our many girls' & women's empowerment projects around the world. The recipient of your gift card will receive updates throughout the year about the project, as well as W4 "goodies" relating to the project. So offer a W4 gift card today and spread joy & love!

Maison de l'emploi des femmes

UNE MAISON DE L’EMPLOI DES FEMMES : Un espace novateur pour accompagner les femmes vers l’emploi

DEFI

Aujourd’hui en France, les disparités femmes-hommes face à l’emploi (accès, temps partiel, rémunération, conciliation vie personnelle / vie professionnelle) persistent.

 

Bien que l’écart entre le taux d’activité femmes – hommes[1] se soit réduit ces dernières années, celui des femmes (67%) reste inférieur de 7% par rapport à celui des hommes. Les femmes subissent toujours davantage le temps partiel non-choisi (80% des emplois à temps partiel sont exercés par des femmes[2]), et elles sont surreprésentées dans les secteurs et emplois à faible rémunération, alors que leur niveau de formation est souvent sensiblement plus élevé que celui des hommes. Bloquées dans leur évolution de carrière par le « plafond de verre », les femmes sont aussi minoritaires à occuper des postes de direction.

 

Cette série de facteurs pèse sur leur rémunération et creuse l’écart salarial entre hommes et femmes. D’après l’Insee, l’écart de salaire moyen entre les femmes et les hommes est de 19%[3] en France. Dans la région Occitanie, cet écart de salaire atteint même 24% entre femmes et hommes et leur taux d’emploi demeure inférieur aussi bien à celui des hommes au niveau régional qu’à celui des femmes au niveau national.

 

Enfin, la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale pèse plus lourdement pour les femmes puisque les deux tiers des tâches domestiques restent toujours assumées par les femmes.

SOLUTION

Face à ces constats et parce que l’emploi constitue une première condition à l’autonomisation, le partenaire de terrain de W4, le Centre d’information sur les Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) de l’Hérault se mobilise pour apporter une solution innovante face à ces inégalités persistantes en créant la première « Maison de l’Emploi des Femmes » (MEF).

 

Cet espace novateur constituera un lieu-ressources où des professionnels du CIDFF proposeront aux femmes un accompagnement global et sur-mesure mettant à disposition : conseil conjugal et familial, soutien psychologique, information juridique, et surtout conseil en insertion professionnelle, afin de prendre en compte les différents freins à l’emploi pour les femmes et d’apporter à chacune la solution la plus adaptée possible.

 

Les femmes seront accompagnées dans l’élaboration et la mise en œuvre de leur projet professionnel. La MEF fera également office de plateforme pour le développement d’actions vers l’emploi, l’accès à la formation, la création ou la reprise d’entreprise, l’élargissement des choix professionnels… à l’échelle du département.

 

Une attention particulière sera portée aux femmes touchées par la précarité et le risque de pauvreté qui demeurent plus éloignées de l’emploi (situation de monoparentalité, chômage de longue durée, installation dans le sous-emploi, travail à temps partiel subi).  

Par ailleurs, le projet prévoit également de proposer un accompagnement adapté aux femmes victimes de violences conjugales prenant en compte les freins spécifiques à l’emploi auxquels elles doivent faire face[4].

IMPACT

En donnant à ce projet, vous permettez la réalisation des travaux d’aménagement et d’équipement du local qui a été choisi pour abriter la « Maison de l’Emploi des Femmes »  pour les accueillir dans un endroit chaleureux.

https://sites.google.com/site/localplacesalengro/

 

Maison d'emploi des femmes

Maison de l'emploi des femmes

 

Grâce à votre contribution, vous permettez à des femmes de s’insérer sur le marché du travail pour les aider à sortir de la précarité et devenir ainsi autonomes financièrement. Près de 800 personnes chaque année bénéficieront des activités d’accompagnement vers l’insertion professionnelle. Par ailleurs, le CIDFF s’engage à ce que 50% des femmes suivies trouvent un emploi, accèdent à une formation, ou développent leur activité dans l’année.

 

Enfin, votre don va permettre aux femmes victimes de violences conjugales de bénéficier d’un suivi adapté permettant à la fois l’accompagnement de ces femmes vers la sortie des violences, mais également leur insertion professionnelle pour reprendre confiance en elles.  Exercer un emploi reste capital pour ces femmes car il signifie une échappatoire et un salaire, un pas essentiel vers l’autonomie et la sortie des violences.

 

Ensemble, à l’échelle locale comme nationale, il est possible de promouvoir des dispositifs innovants comme la « Maison pour l’emploi des femmes » pour faire reculer les inégalités persistantes en matière de taux d’emploi, de temps partiels, de choix professionnels… et les violences faites aux femmes.

 

Déduction Fiscale : en France, 66% du montant de votre don est déductible de votre impôt sur le revenu. 

Un don de 50€, ne vous coûte en réalité que 17€ !


[1] http://femmes.gouv.fr/wp-content/uploads/2014/03/Egalite_Femmes_Hommes_2014.pdf

[2] http://www.familles-enfance-droitsdesfemmes.gouv.fr/wp-content/uploads/2014/03/Egalite_Femmes_Hommes_T2_bd.pdf

[3] Source : Insee, données 2013

[4] Comme le recommande le 5ème plan de mobilisation et de lutte contre toutes les violences faites aux femmes (2017-2019) www.familles-enfance-droitsdesfemmes.gouv.fr/5eme-plan-de-mobilisation-et-de-lutte-contre-toutes-les-violences-faites-aux-femmes-2017-2019/

Formation en informatique pour aider les femmes Népalaises marginalisées à accéder au marché du travail

LE DÉFI

Des années de conflits internes ont eu des effets dévastateurs sur la population népalaise. Plus de 10 ans après la fin de la guerre civile, beaucoup de gens luttent encore pour survivre et vivre avec moins de $1.90 par jour. En 2015, un séisme de magnitude 7,8 a engendré une nouvelle vague de catastrophes sur le pays déjà très appauvri. Des milliers de personnes et un nombre incalculable d’habitations et de bâtiments publics ont été détruits ou endommagés, ruinant ainsi les efforts de développement du Népal.

 

La vie au Népal est particulièrement difficile pour les filles et les femmes au vu des inégalités persistantes de genre et de la violence de plus en plus répandue à la laquelle elles doivent faire face, particulièrement dans les zones rurales et montagneuses. Si la naissance d’un garçon est perçue comme une bénédiction, celle d’une fille a tendance à être considérée par leur famille comme un fardeau. Dans les campagnes, les mariages d’enfants sont monnaie courante pour les jeunes filles car leurs parents veulent se débarrasser du « poids » que représente une fille pour leur famille et ignorent souvent les dangers d’un mariage précoce. Beaucoup de filles et de femmes se battent pour avoir accès à l’enseignement et au marché du travail, et échapper ainsi à la pauvreté. Elles font aussi face à une forte insécurité et à de sévères violations de leurs droits fondamentaux, les rendant ainsi vulnérables. Demeurant prises au piège de la pauvreté, elles n’ont pas la chance de pouvoir exploiter leur potentiel.

 

Pendant ce temps, l’industrie naissante des technologies de l’information et de la communication au Népal est en pleine croissance, offrant au pays un marché potentiel important et une source d’emplois croissante.

 

Les compétences en informatique peuvent booster l’employabilité des femmes, leur permettant d’obtenir un emploi stable et décent dans un secteur en pleine expansion. Disposer de compétences dans le secteur des TIC peut accélérer l’autonomisation des filles et femmes, en leur donnant accès à des ressources vitales, à l’information et à ses différents réseaux.

 

La bonne nouvelle est que les femmes sont de plus en plus nombreuses au sein du secteur des TIC au Népal, formant des groupes et organisations qui travaillent ensemble afin de susciter une prise de conscience sur le besoin d’avoir davantage de femmes dans ce secteur. Néanmoins, pour d’innombrables jeunes filles et femmes issues de milieux défavorisés, décrocher une formation dans ce secteur dépend avant tout de leurs ressources personnelles et de l’offre disponible localement. 

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Ensemble avec notre partenaire de terrain, RUWON, nous travaillons pour offrir aux jeunes femmes défavorisées de la région de Katmandou, l’opportunité de recevoir une formation en informatique pour augmenter leur employabilité et faciliter leur accès au marché du travail.

 

Le programme soutient les jeunes femmes issues de familles victimes des tremblements de terre de 2015. Il offre une formation en informatique durant une année complète, permettant ainsi aux jeunes femmes d’acquérir des compétences certaines qui boosteront leur employabilité et leur donneront accès à des emplois stables.

 

Le programme fournit aussi un accompagnement en soft skills renforçant ainsi leur confiance en elle, le programme les familiarisera également au marché du travail et à la recherche d’emploi. L’objectif est d’aider les jeunes femmes à obtenir un emploi sûr et à devenir indépendante financièrement.

 

L’autonomie financière est essentielle pour ces jeunes femmes afin d’améliorer leur statut socio-économique au sein de la communauté. Cela doit également amener à changer les mentalités et à faire prendre conscience de l’importance d’investir dans l’éducation des femmes et des filles.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Vous pouvez donner aux jeunes femmes népalaises l’opportunité de participer à une formation de qualité informatique d’une année. Pour ces jeunes femmes, cela représente une opportunité en or qui transformera leur vie. Ce programme leur permettra d’acquérir des connaissances et compétences en informatique certifiées, multipliant leur chance d’obtenir un emploi sûr et décent dans le secteur formel. Votre contribution permet de garantir aux femmes de devenir indépendantes financièrement et de sortir de la pauvreté. Vous participez au lancement d’un cercle vertueux dans la vie ces jeunes femmes, de leur famille et de leur communauté toute entière ! 

Formation en informatique pour favoriser l’employabilité des femmes Massai

LE DÉFI

En 2015, le Kenya était classé au 126e rang sur 155 pays selon l’Indicateur des inégalités de Genre du PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement).

Les femmes et filles issues de communautés défavorisées n’ont pas ou peu accès au système éducatif. Parmi ces filles, celles qui ont la chance de pouvoir aller à l’école se voient régulièrement forcées d’arrêter avant même d’avoir achevé leur cursus secondaire car leurs familles ne peuvent couvrir leurs frais de scolarité.

 

Ces filles issues de milieux défavorisés font face à de multiples obstacles concernant l’éducation. Dépourvues de compétences ou encore de qualifications, ces filles sont, pour la plupart, destinées à un avenir relativement sombre et sont exposées aux dangers des mutilations génitales féminines (MGF) ainsi qu’au mariage précoce.

 

Cependant, le secteur des TICs (Technologies de l’Information et de la Communication) au Kenya est l’un des plus importants et porteurs d’Afrique. En effet, l’industrie des TIC est l’un des secteurs économiques qui se développe le plus rapidement.

Les technologies digitales offrent d’importantes opportunités en terme d’employabilité, d’entreprenariat ou encore d’auto-entrepreneuriat mais ce secteur représente également de grandes disparités en terme de connaissances et de compétences demandées par les employeurs, ce qui limite la possibilité pour les kenyanes d’obtenir un emploi dans ce secteur.

 

Les femmes et les filles sont encore plus désavantagées que les hommes. La cause ? La forte disparité dans le système éducatif et la fracture numérique entre les femmes et les hommes. Par exemple, seulement 1 femme sur 5 possède un téléphone portable avec un accès internet et seulement 20% de la population féminine possède un accès à internet (contre 57% chez les hommes).

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

En partenariat avec notre partenaire local, Voices of Hope, W4 œuvre pour permettre aux filles et jeunes femmes Massai, vivant à Kajiado, d’avoir l’opportunité de recevoir une formation informatique de qualité afin d’améliorer leur employabilité et de faciliter leur accès au secteur formel de l’emploi.

 

En offrant à ces femmes la chance de développer des compétences en informatique à travers un programme intensif d’un an, W4 cherche à les aider à obtenir un emploi sûr et stable pour devenir, par la suite, indépendante financièrement. Réussir à acquérir cette autonomie financière est essentiel pour parvenir à améliorer le statut socio-économique des jeunes femmes au sein de leur communauté. De plus, cela permet de susciter une certaine prise de conscience concernant l’importance d’investir dans l’éducation des filles et des femmes.

 

IMG_8897

 

Grâce à cette formation en informatique innovante, les filles et les jeunes femmes développent leur confiance en elle, et acquièrent le savoir et les compétences nécessaires en informatique, ce qui leur permettra de gagner en autonomie, en sécurité et enfin, de trouver un emploi.

L’IMPACT DE VOTRE DON

En faisant un don aujourd’hui, vous offrez aux femmes Massai une opportunité sans précédent de participer à un programme de qualité pendant un an, d’améliorer leur savoir et connaissances, de recevoir une qualification utile et vous leur permettez de se familiariser avec le monde du travail.

 

Vous vous assurez que ces femmes obtiennent un stage puis des perspectives d’embauche, leur permettant à terme de devenir autonomes financièrement, et ainsi, de mieux se protéger (des MGF ou encore du mariage précoce), et de décider de leur propre avenir.

 

Ces femmes parviendront à être autonomes et pourront jouer un rôle clé dans le changement des mentalités au sein de leur communauté.

 

Importante : W4 est une association loi de 1901 en France. Les dons effectués au profit de Women’s WorldWide Web ouvrent droit :

  • Pour les particuliers, à une réduction d’impôt sur le revenu, égale à 66% du montant de votre don dans la limite de 20% de votre revenu imposable.
  • Pour les entreprises, à une déduction fiscale de 60% du don sur votre impôt sur les sociétés dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires. 

 

 

Protégez les enfants Sud-Soudanais en leur offrant un espace sécurisé d’apprentissage préscolaire dans les camps de réfugiés

LE DÉFI

Bien que le 25 août 2017 ait marqué le deuxième anniversaire de la signature d’un accord de paix au Soudan du Sud, les hostilités continuent sans répit tandis que les civils sont toujours attaqués aussi bien par l’armée gouvernementale que par les forces d’opposition. La violence persistante, à laquelle s’additionnent le déclin économique et la famine, a forcé des millions de Sud-Soudanais à fuir leur domicile (la plupart du temps à pied), et à se réfugier dans les pays voisins comme le Soudan, l’Éthiopie, la République Démocratique du Congo et l’Ouganda.

 

Plus d’un million de réfugiés sud-soudanais ont ainsi cherché à se mettre en sécurité en Ouganda. La grande majorité de ces réfugiés (85%) sont des femmes et des enfants. Qui plus est, beaucoup de ces enfants sont arrivés seuls car ils ont perdu leurs parents dans les combats, ajoutant à leur tragédie. Malgré les efforts du gouvernement ougandais pour s’occuper des populations réfugiées éparpillées dans tout le pays, d’innombrables enfants – orphelins ou avec une mère réfugiée et démunie – ont un besoin urgent de soins afin d’être en sécurité et de pouvoir satisfaire leurs besoins vitaux, à savoir s’abriter et se nourrir. Risquant d’être victimes de violence, de maltraitance et d’exploitation, de nombreux enfants sud-soudanais vulnérables sont également déscolarisés et ne peuvent bénéficier d’une éducation pourtant cruciale.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

W4 travaille avec un partenaire de terrain local, Hope Ofihira, pour soutenir les femmes réfugiées du Soudan du Sud qui ont traversé la frontière ougandaise en quête de sécurité. Dans le cadre de nos programmes pour aider les femmes réfugiées, nous cherchons aussi à fournir une assistance humanitaire aux enfants sud-soudanais (dans les camps de réfugiés d’Adjumani, Bweyale et Palabek Kal).

 

Avec notre équipe de terrain locale, W4 construit des garderies et des centres d’apprentissage pour la petite enfance pour les jeunes enfants dans les camps. Notre but est d’offrir à ces enfants un abri sûr, des activités d’apprentissage préscolaire adaptées, ainsi que les soins et le soutien de professeurs formés.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Vous pouvez avoir un impact considérable en protégeant de jeunes réfugiés du Sud-Soudan vulnérables. En leur donnant accès à cet espace d’apprentissage sûr et adapté, ils pourront bénéficier d’une éducation préscolaire et réaliser des activités sous la supervision de professeurs qualifiés et à leur écoute.

 

Votre générosité permettra à ces enfants qui ont enduré les traumatismes de la guerre et de l’exil de bénéficier de soins urgents et d’une éducation adaptée à leur jeune âge. En donnant à ce programme, vous offrez à ces enfants l’espoir et l’opportunité d’un futur meilleur.

 

W4 fondation YTTO fin au mariage des enfants

Des caravanes sociales pour les droits des filles dans le Rif marocain

LE DÉFI

Au Maroc, le système patriarcal prévalent impose aux femmes de se conformer au rôle d’épouse et de mère, et le mariage des enfants est souvent perpétué par les familles pour empêcher des risques de grossesse ou de relations sexuelles en dehors du mariage.

 

Si des progrès considérables ont été faits dans les dernières décennies, les régions les plus reculées du Maroc sont encore particulièrement touchées par les mariages d’enfants, à cause de la pauvreté et des difficultés d’accès à l’éducation. Ainsi, de façon tragique, les filles sont parfois âgées de seulement 7 à 9 ans lorsqu’elles sont mariées de force.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de terrain de W4 au Maroc, Fondation YTTO, met en place et fait circuler à travers le pays des “caravanes sociales de l’égalité” qui se rendent dans les régions enclavées afin de sensibiliser les populations locales aux problèmes liés au mariage des enfants. Ces caravanes ont déjà obtenu d’excellents résultats, en permettant à des jeunes filles de retourner à l’école, en aidant à créer des associations sur place pour prendre la relève ou encore en mobilisant le Ministère de la justice.

 

L’objectif de ce programme est de cibler la région du Rif, une chaîne de montagne reculée au nord du Maroc. Les « caravanes sociales de l’égalité », composées de bénévoles, circuleront dans plusieurs villages de la région et organiseront des activités de sensibilisation ainsi que des groupes de discussion. Les activités artistiques et la poésie seront également utilisées pour impliquer et sensibiliser les populations des villages. Un comité juridique apportera une aide légale aux populations pour inscrire les petites filles à l’état civil, élément clé pour réduire le taux de mariage d’enfants.

 

Des programmes d’éducation aux droits et de formation seront mis à disposition des femmes et filles dans chaque village afin de les aider à prendre conscience de leurs droits et à se former à un métier pour devenir financièrement autonomes.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Votre contribution peut avoir un impact décisif pour la réussite de ces caravanes de l’égalité, en aidant à sensibiliser les populations aux dangers des mariages des enfants dans la région du Rif afin de mettre un terme à cette pratique ! En réunissant les fonds nécessaires, ce sont 15 villages dans la région du Rif qui pourront bénéficier des activités dispensées par les caravanes, ce qui représente plus de 25000 personnes sensibilisées au problème du mariage des enfants. Ces personnes auront accès à des formations, des programmes de sensibilisation et une aide juridique, pour un changement réel et durable.

 

Ensemble, mettons fin au mariage des enfants !

 

 

Formez les femmes togolaises pour mettre fin au mariage des enfants !

LE DÉFI

Au Togo, une jeune fille sur 4 est mariée avant ses 18 ans, et 6% des filles sont mariées avant 15 ans. Le mariage des enfants représente donc un enjeu crucial pour les droits des filles et des femmes togolaises.

 

Le problème du mariage des enfants est encore plus répandu dans les zones rurales et défavorisées, et il est étroitement lié à la question de l’éducation des jeunes filles : en effet, 44% des jeunes femmes de 20 à 24 ans sans éducation sont mariées avant leur majorité, pour seulement 8% des femmes qui ont reçu une éducation secondaire. Le mariage des enfants limite sérieusement les perspectives d’avenir des filles et les expose à des risques sanitaires importants.

 

Bien que le gouvernement togolais ait récemment lancé un programme national pour mettre fin au mariage des enfants, beaucoup reste encore à faire.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de terrain de W4, Carrefour de Développement, cherche à protéger les jeunes filles de la préfecture d’Anié (au sud du Togo) contre le mariage des enfants, mais aussi à favoriser l’éducation et l’autonomisation des jeunes femmes qui ont été mariées avant 18 ans.

 

Ce programme vise à soutenir les jeunes femmes qui ont subi un mariage précoce pour qu’elles deviennent actrices du changement dans leurs communautés : il met les jeunes femmes elles-mêmes au cœur des activités. Le projet central du programme de terrain repose sur la création d’Activités Génératrices de Revenus (AGR) pour ces jeunes femmes, afin de promouvoir leur autonomisation financière.

 

Ces activités prendront la forme de l’élevage d’abeilles, du développement de ruches et de la production et commercialisation de miel. Le programme comprend aussi la plantation d’arbres, ce qui favorise le reboisement de la préfecture et aura donc un impact doublement positif : à la fois sur l’environnement – contre le changement climatique – et pour les jeunes femmes comme source de revenus.

 

Avec la mise en place de formations et de groupes de discussion, les participantes pourront travailler ensemble pour créer des solutions communautaires qui mettront fin au mariage des enfants. L’objectif est de sensibiliser la communauté à propos des dangers de cette pratique et le but final est la production d’un engagement écrit par la communauté et les chefs traditionnels contre le mariage des enfants.

 

Enfin, sur le plan de la santé, les jeunes filles de la préfecture bénéficieront de prises en charge gratuites au Centre Médico-Social afin de dépister et traiter les IST et le SIDA.

L’IMPACT DE VOTRE DON

En donnant à ce projet innovant, vous permettrez à des jeunes femmes mariées avant leurs 18 ans de participer à des formations qui présenteront de nombreux avantages. Les jeunes femmes auront l’opportunité de trouver un emploi et d’accéder à l’autonomie financière à travers le développement de ruches, la production de miel et la plantation d’arbres. Ces activités auront également un impact très positif sur l’environnement en favorisant la reforestation des terres locales.

 

Grâce à des formations adaptées, les jeunes femmes du programme seront à même de créer un projet de sensibilisation et de devenir actives dans leur communauté pour faire cesser les mariages d’enfants.

 

Votre don permettra par ailleurs aux jeunes filles de bénéficier de prises en charge médicales gratuites, ce qui aura un impact durable sur leur santé et leurs perspectives d’avenir.

 

Ensemble, mettons fin au mariage des enfants !

fin au mariage des enfants

Des formations en artisanat pour l’émancipation des jeunes congolaises au Nord-Kivu

LE DÉFI

En République Démocratique du Congo, depuis plus de vingt ans, “le corps des femmes est devenu un véritable champ de bataille,” selon le Dr. Denis Mukwege. Le viol est devenu une véritable arme de guerre pour toutes les parties et les cas de mariages d’enfants se multiplient tandis que le conflit crée un climat d’impunité et un état de non-droit. 37% des filles en RDC sont mariées avant leurs 18 ans, ce qui représente 1 274 000 femmes actuellement âgées de 20 à 24 ans.

 

A cause de la guerre et de la corruption, les quelques lois qui existent sur le sujet ne sont pas appliquées. La République Démocratique du Congo est donc le 9e pays au monde avec le plus grand nombre absolu de mariage d’enfants et la tendance semble difficile à inverser tant que le conflit n’a pas pris fin.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Women for Equal Chances, le partenaire de terrain de W4 à Kamuronza, dans le Nord-Kivu (zone à l’est de la RDC, frontalière avec l’Ouganda) travaille à sensibiliser les populations locales à la nécessité de mettre fin au mariage des enfants. A travers des ateliers de formation pour les leaders communautaires, la production de documents informatifs distribués dans la région et des émissions radio, l’objectif est de permettre aux communautés locales de mieux comprendre les enjeux et problèmes liés aux mariages d’enfants.

 

Le but, à l’issue de ces ateliers de sensibilisation est de produire un document d’engagement communautaire afin que toute la population s’investisse pour mettre un terme à cette pratique. Des séances de vulgarisation du contenu de ce document seront ensuite organisées dans les villages de la région pour favoriser la transmission de l’information.

 

En parallèle, le programme offre à des jeunes filles ayant vécu un mariage précoce un “kit de réinsertion socio-économique” et une formation en vannerie artisanale – c’est-à-dire en tressage de matières végétales – afin qu’elles puissent développer leur propre Activité Génératrice de Revenus (AGR) et devenir financièrement indépendantes, ce qui leur permettra de mieux se protéger et de satisfaire les besoins de leurs enfants.

L’IMPACT DE VOTRE DON 

Votre don peut faire la différence dans la vie des jeunes filles survivantes d’un mariage précoce en leur offrant l’opportunité de formations professionnelles. Les femmes pourront exercer un métier grâce à leur formation, devenir financièrement autonomes et mieux se protéger. Elles seront également mieux équipées pour protéger leurs propres enfants des dangers liés au mariage des enfants.

 

Votre soutien peut aider à mettre fin aux mariages d’enfants dans la région de Kamuronzo en sensibilisant les communautés aux préjudices causés par cette pratique et en créant un engagement communautaire pour y mettre un terme. Grâce aux différents programmes et modes de sensibilisation, ce programme de terrain touchera plus de 25 000 personnes dans la région du Nord-Kivu.

 

Ensemble, mettons fin au mariage des enfants !

fin au mariage des enfants

Des “Parlements des Filles” pour en finir avec le mariage des enfants en RDC

LE DÉFI

Le mariage des enfants est un enjeu crucial pour le développement et les droits des filles et des femmes en République Démocratique du Congo. A cause du conflit armé qui sévit depuis plus de vingt ans pour le contrôle des ressources naturelles, les filles sont les victimes les plus touchées par la violence. Ainsi, aujourd’hui, 37% des filles sont mariées avant d’atteindre l’âge de 18 ans, et 10% sont même mariées avant leurs 15 ans.

 

La tradition de la dot contribue à la prévalence du mariage des enfants en RDC, et les jeunes filles servent souvent à payer la dette d’une famille envers une autre. Ces coutumes empêchent donc l’amélioration des conditions de vie des filles et des femmes.

 LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de terrain de W4 au Sud-Kivu (la région la plus touchée par le conflit avec les rebelles ougandais et rwandais), Debout Fille, propose une approche innovante pour mettre fin aux mariages des filles et basée sur l’utilisation du numérique. Il vise à donner les outils nécessaires aux filles et adolescentes afin qu’elles puissent participer aux décisions communautaires et prendre en main leur propre avenir.

 

La création de « Clubs et Espaces Numériques Educatifs » et « d’Ecoles de Vie » pour les jeunes filles leur permettra de recevoir une éducation complète sur leurs droits et leur santé sexuels et reproductifs. A travers des « Parlements des Filles », les jeunes femmes pourront s’engager dans le plaidoyer politique et communautaire pour mettre fin aux mariages d’enfants dans leurs communautés.

 

En parallèle, afin de sensibiliser les parents au mariage des enfants, des « Ecoles des Parents » seront également mises en place. Ces cadres sécurisés d’information, d’éducation et d’échanges permettront aux parents d’accompagner au mieux leurs filles dans leurs choix et leur sexualité.

 

Tous ces acteurs du changement seront formés à l’utilisation d’outils numériques afin d’être capables d’utiliser ces outils pour s’informer à propos des droits des enfants et des mariages d’enfants, de sensibiliser aux dangers de cette pratique et de participer au plaidoyer pour y mettre un terme. Ces réseaux numériques faciliteront la communication entre les membres d’une communauté pour une meilleure organisation et des actions plus fortes.

 L’IMPACT DE VOTRE DON

Grâce à votre générosité, le programme pourra former 120 jeunes filles pour constituer des « Parlements des filles » afin qu’elles soient actrices du changement dans leurs communautés et sensibilisent elles-mêmes leurs pairs aux droits sexuels et reproductifs des femmes. Au total, plus de 1 200 jeunes et membres de la communauté locale bénéficieront de ces informations et des activités de sensibilisation.

 

De plus, 120 parents défenseurs des droits des filles et des femmes seront engagés dans le plaidoyer auprès des autres parents et d’autres membres de la communauté. Enfin, 240 leaders communautaires seront engagés activement dans des réseaux numériques et communautaires plus larges dédiés au sujet du mariage des enfants afin de mettre en place des mécanismes à grande échelle pour un véritable changement.

 

Ensemble, mettons fin au mariage des enfants !

 

Mettre fin au mariage des enfants au Sénégal à travers l’agriculture et la radio

LE DÉFI

Au Sénégal, une jeune fille sur trois est mariée avant ses 18 ans. Le niveau d’éducation constitue un facteur fondamental dans la prévalence du mariage des enfants : en effet, les femmes qui n’ont reçu aucune éducation sont jusqu’à 8 fois plus nombreuses à avoir subi un mariage précoce que les jeunes filles ayant un niveau d’éducation secondaire ou plus.

 

Malgré les efforts réalisés, y compris au niveau national, pour sensibiliser au mariage des enfants, cette pratique reste répandue et touche d’innombrables filles, les privant de leur droit à une enfance et d’opportunités de construire leur propre avenir, et les exposant à des risques sanitaires.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Afin de répondre à cette problématique, le partenaire de terrain de W4 au Sénégal, DEMNGALAM, situé dans le département de Podor au nord du pays, a développé un programme qui comporte plusieurs volets. D’abord, la sensibilisation aux dangers liés au mariage des enfants s’effectue à travers des émissions radio, des rencontres inter-villageoises, des “causeries éducatives” et des caravanes, qui passent de village en village afin d’apporter les informations nécessaires aux habitants du département de Podor.

 

Notre programme de terrain comporte également un aspect juridico-légal, essentiel pour mettre fin à cette pratique néfaste : le programme travaille à traduire les textes de lois sur le sujet en langue locale, le pulaar, afin de les rendre plus accessibles aux populations locales, et pratique la régularisation à l’état civil des filles de plus d’un an. Cela permet aux jeunes filles de poursuivre leurs études, mais également aux autorités de connaître leur âge afin de contrôler les cas de mariages d’enfants.

 

Enfin, le programme promeut l’autonomisation économique des jeunes femmes mariées avant leurs 18 ans à travers la création d’Activités Génératrices de Revenus (AGR), pour permettre aux femmes de gagner leur vie, de mieux se protéger et de s’occuper d’elles-mêmes et de leurs enfants. Le programme de terrain propose des formations à l’agriculture (cultivation de parcelles de cultures maraîchères – patates, gombos, piment – sur 4 hectares dans la région) et à la gestion administrative et financière. Grâce aux revenus de ces activités, ces jeunes filles issues de familles vulnérables pourront offrir une éducation à leurs enfants.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Votre contribution peut aider à changer la vie de nombreuses jeunes filles sénégalaises et de leur communauté ! Environ 25 jeunes filles et toute leur famille bénéficieront de ce programme. Votre don aidera à sensibiliser la population à travers des émissions radio qui toucheront jusqu’à 16 000 personnes et la traduction et distribution de textes légaux sur le mariage des enfants et leurs droits en dialecte local.

 

Vous aiderez des jeunes femmes mariées avant leurs 18 ans à devenir plus autonomes, grâce à des formations et la mise en place d’Activités Génératrices de Revenus ; votre soutien permettra la régularisation de filles défavorisées par l’inscription à l’état civil, ce qui leur donnera accès à une véritable éducation et aidera à empêcher les mariages d’enfants en fournissant des données cruciales sur l’âge des filles. Toutes ces actions auront un véritable impact pour faire évoluer les mentalités et offrir aux jeunes filles un meilleur futur !

 

Ensemble, mettons fin au mariage des enfants !

 

enfants réfugiés - éducation

Le droit à l’école pour les enfants réfugiés syriens au Liban

C’est le BON moment de faire un DON ! 

Toutes les donations de ce projet seront doublées !

LE DÉFI

Depuis six ans maintenant, un conflit meurtrier, persiste sur le territoire syrien et pousse une partie de la population sur les routes de l’exil.

 

Aujourd’hui, près de 5 millions de Syriens ont fui leur pays à la recherche d’un refuge dans les pays voisins et à travers le monde.

 

Le Liban est le pays le plus affecté par l’afflux de réfugiés après la Turquie puisque ce petit pays accueille plus d’un million de réfugiés, soit 25% de sa population. Parmi ces réfugiés syriens, 70% vivent sous le seuil de pauvreté et la moitié d’entre eux sont des enfants. L’enseignement auprès des enfants demeure une des préoccupations majeures.

 

Le système éducatif libanais ne pouvant accueillir un si grand nombre d’élèves, nous devons agir pour protéger le droit à l’éducation des enfants syriens réfugiés et permettre à ces enfants de grandir dignement pour qu’ils puissent devenir les citoyens actifs de demain !

 

Le gouvernement libanais a néanmoins fait des efforts considérables dans la prise en charge des enfants syriens de plus de sept ans (notamment grâce au lobbying de la communauté internationale mais aussi de petites associations oeuvrant sur place comme Yalla!).

 

Ainsi, après plusieurs années d’activité, Yalla! s’est, à la rentrée 2017, réorienté vers la petite enfance. En effet, plus tôt les enfants sont scolarisés (particulièrement quand ils sont dans des situations précaires, d’exil), plus de chance ils auront de réussir leur scolarité !

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Afin de remédier à ce fléau, le partenaire de terrain de W4, Yalla ! Pour les Enfants apporte des solutions novatrices et pérennes. Leur mission principale est de remettre les enfants syriens déscolarisés sur le chemin de l’école et leur offrir un enseignement de qualité.

 

Pour cela, une équipe qualifiée de professeurs et accompagnateurs œuvre chaque jour pour permettre à ces enfants de se développer dans un environnement sécurisé et rassurant, et les aide à reprendre confiance en eux en soignant les stigmates que la guerre a pu laisser.

 

« Une transition en douceur vers le système scolaire libanais. »

 

Le « Centre éducatif et artistique » de Yalla ! Pour les enfants à Aley offre un accompagnement éducatif adapté aux enfants syriens leur permettant d’acquérir ou de retrouver un niveau d’étude pour pouvoir ensuite accéder au système éducatif libanais. Ce centre éducatif, de par son originalité, répond à deux objectifs :

 

1. Promouvoir le droit à l’éducation: chaque année, 125 enfants ont accès à des cours dont le contenu, élaboré avec le concours d’une experte en enseignement des langues étrangères en situation d’urgence, est adapté aux besoins des enfants syriens ainsi qu’aux exigences du système scolaire libanais. Yalla! met l’accent sur l’enseignement des langues anglaise et française (à côté de l’arabe) pour que les enfants syriens puissent bien s’intégrer dans l’école et la société libanaise, qui fait usage de ces langues.

 

Le centre éducatif propose également des activités psycho-sociales pour l’épanouissement de l’enfant tels que des ateliers théâtre et de musique, des cours d’arts plastiques, de yoga, ou encore du sport.

 

2. Prévenir les conflits avec la communauté d’accueil : afin de vivre en harmonie et de préparer la paix de demain, le partenaire de terrain de W4 propose de fédérer les enfants syriens et les enfants libanais de toutes confessions, ethnies ou origines socio-économiques autour d’un projet prônant l’égalité et le respect mutuel, le tout au travers d’activités ludiques.

 

Enfin, les acteurs du projet agissent également en sensibilisant les autorités libanaises, locales et gouvernementales aux souffrances et à la déscolarisation des enfants syriens, afin de les convaincre de la nécessité de scolariser les enfants syriens réfugiés. Les résultats sont probants.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Faire un don permet de contribuer au financement d’un accompagnement solide qui bénéficie à 125 enfants, âgés de 4 à 7 ans et répartis dans 5 classes de 3 niveaux différents.

 

Donner c’est également aider ces enfants en exil à retrouver le sourire, le goût de l’école, et surtout, à réapprendre à être des enfants.

 

De plus, vous aidez à diminuer les risques pour ces enfants réfugiés d’être victimes de travail forcé, de mariage précoce ou de violences, et vous aidez à la construction d’une paix entre la population d’accueil et la population réfugiée.

 

Le programme de Yalla ! Pour les Enfants a déjà montré son efficacité en ce qui concerne l’intégration des enfants syriens dans le système libanais puisque 92% des enfants ayant été scolarisés au Centre éducatif et artistique d’Aley pendant l’année scolaire 2016-2017 ont intégré avec succès une école libanaise et poursuivent donc leur cursus scolaire.

 

Aidez dès maintenant les enfants syriens réfugiés au Liban à accéder à une éducation indispensable et ainsi à combattre l’exclusion sociale et économique !