How can you help?

Do you want to change the world? You're in the right place! Join us at W4 in empowering girls and women for the benefit of everyone! You can donate to our projects around the world, launch your own team fundraiser, (e-)volunteer your skills and/or spread the word about our work!

How does it work?

Choose one or more projects you care about from our portfolio of projects around the world, make a donation and see the life-changing, even life-saving, impact of your giving!

How does it work?

Create your own uber-cool fundraising team to raise funds for (a) project(s) you care about, then invite your friends/colleagues/family to donate and change the world with you! Multiply the good and multiply your impact!

How do gift cards work?

Offer a friend/colleague/loved one a unique, unforgettable gift with a W4 gift card! When you offer a W4 gift card, the recipient of your gift can choose a project to support from among our many girls' & women's empowerment projects around the world. The recipient of your gift card will receive updates throughout the year about the project, as well as W4 "goodies" relating to the project. So offer a W4 gift card today and spread joy & love!

agro-business ; women entrepreneurs

Soutenir une éducation à l’agroalimentaire pour des jeunes femmes entrepreneures au Burundi

LE DÉFI

Le Burundi est l’un des 5 pays les plus pauvres du monde, avec 65% des burundais vivant sous le seuil de pauvreté, la plupart d’entre eux vivant en zones rurales. L’état d’insécurité alimentaire est alarmant, affectant quasiment 1 ménage sur 2. Environ 58% des Burundais souffrent de malnutrition chronique.

 

En dépit d’un manque de terres arables, 90% de la population recherche un emploi dans le secteur agricole, et occasionne alors un taux de chômage très élevé. Les plus impactées par ce fléau sont les femmes, qui sont traditionnellement les plus vulnérables de cette société.

 

De plus, les jeunes filles Burundaises, et en particulier celles issues de milieux défavorisés, ont très peu accès à l’éducation ou autres opportunités d’émancipation. Seule une petite fraction d’entre elles réussissent à atteindre un niveau d’étude secondaire.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

W4 travaille en collaboration avec WEI (Women’s Economic Imperative) et son partenaire local, IPSDI Burundi pour permettre aux jeunes femmes de la communauté Muzinda, dans la province de Bubanza, de bénéficier d’une éducation innovante en agro-alimentation, le tout dans un environnement sécurisé. Ce projet offre aux jeunes femmes burundaises la possibilité de découvrir de nouvelles techniques d’agriculture qui leur permettront de transformer leur vie, leur communauté et possiblement leur pays.

 

Les jeunes femmes de ce programme bénéficieront d’une éducation spécialisée en technologies alimentaires avec des cours additionnels sur l’entrepreneuriat, les mathématiques appliquées, l’informatique, l’écologie, la législation des produits agroalimentaires ainsi que de la chimie appliquée.

 

De plus, ce projet a pour objectif de mettre en place un programme de microfinance pour les femmes afin de leur offrir un crédit, soit individuel, soit pour la création d’une coopérative, donnant la priorité aux jeunes femmes de l’école désirant lancer leur propre entreprise agroalimentaire.

 

L’objectif global du programme quant à lui est de donner accès aux jeunes femmes à une éducation de qualité pour ensuite leur assurer des opportunités d’emploi rémunéré, ou même de créer leur propre business après avoir reçu leur diplôme.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Donnez aujourd’hui pour aider à équiper la bibliothèque de cette école d’outils indispensables tels que des ordinateurs ou des manuels. En faisant un don vous aidez ces jeunes filles à accéder à une éducation de qualité et vous leur permettez d’acquérir des compétences essentielles pour pouvoir obtenir par la suite un emploi stable.

 

De plus, la plupart de ces jeunes filles pourront, à la suite de cette formation, créer leur propre entreprise agro-alimentaire, l’équiper avec les technologies de pointe, apporter de la valeur et des opportunités d’emploi au sein de leurs communautés locales et également participer à la résolution des problématiques liées à l’insécurité alimentaire.

 

Grâce à ce programme éducatif, ces jeunes femmes pourront devenir des actrices du changement au sein de leur communauté, et ainsi inspirer les autres filles et femmes à devenir économiquement indépendantes et autonomes.

Avenir pour les enfants d'Asie

Un métier, un avenir pour les enfants d’Asie

LE DÉFI

Malgré la progression de la scolarisation dans le monde, sur les 263 millions d’enfants déscolarisés aujourd’hui, un tiers habite en Asie du Sud. La privation du droit à l’éducation ou l’arrêt de la scolarisation sont dus à de nombreux facteurs : revenu familial insuffisant obligeant les enfants provenant de communautés pauvres à travailler et donc à être déscolarisés ; l’absence d’infrastructure adéquate et de professeurs qualifiés etc.

 

Pourtant, l’accès à l’éducation est crucial pour permettre aux enfants les plus défavorisés de sortir de la pauvreté : une éducation de qualité améliore les conditions de vie des enfants, permet aux enfants d’obtenir les compétences et qualifications dont ils ont besoin pour construire leur avenir et ainsi améliorer les sociétés dans lesquelles ils vivent.

 

 

Notre défi, votre défi : donner une chance aux enfants d’Asie d’apprendre un métier pour se construire un avenir loin de la pauvreté

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de terrain de W4, Enfants d’Asie, œuvre pour la défense des droits des enfants à l’éducation et donne accès aux jeunes à des métiers qualifiants (formations professionnelles et études universitaires), en adéquation avec leurs ambitions et le marché de l’emploi de leur pays.

 

Pour briser le cercle vicieux de la pauvreté, les jeunes reçoivent un accompagnement individualisé allant de la scolarisation à l’insertion professionnelle en passant par une orientation adéquate. Ces jeunes ont ainsi toutes les clés pour choisir leur avenir !

L’IMPACT DE VOTRE DON

Votre don participera au soutien de milliers de jeunes défavorisés dont plus de 50% de filles au Cambodge, Laos, Philippines et Vietnam. Choisir de soutenir ces programmes d’éducation et de formation pour les enfants et jeunes les plus démunis, c’est permettre à ces enfants de pouvoir apprendre un métier et ainsi d’acquérir une autonomie financière.

Grâce à votre don, les enfants et les jeunes provenant de communautés vulnérables :

  • sont scolarisés ;
  • bénéficient d’un suivi social grâce à des équipes de formateurs et travailleurs sociaux qualifiées ;
  • sont accompagnés dans leur orientation professionnelle ;
  • sont accompagnés dans leur formation et insertion professionnelle ;
  • choisissent leur avenir.

 

W4-education

Online TV channel for girls and women

Créer une chaîne d’information en ligne progressive pour les filles et les femmes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord

LE DÉFI

Les adolescentes sont fortement influencées par ce qu’elles voient dans les médias. Dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA), les médias présentent les adolescentes et les jeunes femmes de façon négative 78% du temps, selon le rapport « Femmes arabes et médias » publié par le “Center of Arab Women for Training and Research (CAWTAR)”. Les médias dépeignent souvent les femmes comme des objets et suggèrent qu’elles sont analphabètes, matérialistes, opportunistes, faibles et/ou dépendantes.

 

En cette période charnière de transformation de la région MENA, il semble urgent d’inspirer les filles et les jeunes femmes de la région, et de leur proposer des modèles féminins positifs !

 

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Projet Soar, partenaire de  terrain de W4,  a développé un programme d’autonomisation de plus de 50 heures afin d’aider les adolescentes à mieux connaître leurs valeurs, leur voix, leur corps, leurs droits et leur vocation. Ce programme centré sur les filles est animé par des conseillers dans plus de 30 lieux au Maroc et au-delà.

 

Pour renforcer l’impact positif de ce programme novateur, Projet Soar a pour objectif de lancer une nouvelle chaîne de télévision en ligne, nommée Soar TV, dont la vocation est d’inspirer et autonomiser les filles de la région MENA.

 

Soar TV, hébergée sur YouTube, proposera un contenu passionnant « non traditionnel » destiné à un public de filles âgées de 13 à 22 ans. Des animateurs branchés et stimulants délivreront, sur le modèle d’un talk-show, des informations et des interviews en darija et en arabe moderne, et parfois en mélangeant les deux langues. La chaîne utilisera des accessoires et de la musique, et conviera des invités surprises pour proposer un contenu amusant et captivant pour le public.

 

Les informations et les interviews mettront en lumière les réussites :

  • de femmes entrepreneures
  • d’athlètes féminines
  • de femmes scientifiques
  • de dirigeantes d’ONG
  • de femmes chefs de gouvernement
  • de femmes artistes / d’écrivaines
  • d’autres femmes importantes de la région MENA dans leurs domaines respectifs.

 

Vous voulez un aperçu ? Voici quelques exemples de contenu que nous espérons partager :

 

« Femmes Soar »

 

Femmes scientifiques de la région MENA

Asmaa Boujibar est une scientifique tuniso-marocaine âgée de 31 ans. En 2014, Asmaa a été admise dans les laboratoires de la NASA. Elle a également rejoint l’Institut Carnegie pour la Science en tant que chercheuse postdoctorale.

 

Athlètes féminines de la région MENA

Zahra Lari, 23 ans, est la première patineuse artistique émirienne et la première patineuse artistique à concourir à l’international en portant un voile.

 

Mahassen Hala est la première femme à représenter le Liban en haltérophilie. Sara Ahmed, Égyptienne, a été la première femme arabe à remporter une médaille olympique en haltérophilie aux Jeux Olympiques de 2016.

 

 

 

Dernières informations SOAR TV

 

Les femmes saoudiennes obtiennent une licence de pilote mais pas d’emploi, pourquoi ?

Cinq saoudiennes ont récemment obtenu leur licence de pilote leur permettant de piloter des avions commerciaux ou privés. Cependant, les emplois semblent rester inaccessibles pour ces femmes en Arabie Saoudite. Dans cette interview, l’une des pilotes, Yasmine al-Maymany, nous explique que malgré le battage médiatique, ses qualifications et les emplois disponibles dans le Royaume, les femmes se voient toujours refuser un emploi de pilote.

 

Ouverture du Musée de la Femme à Marrakech

Récemment ouvert en 2018, le Musée de la Femme est le premier du genre au Maroc et en Afrique du Nord. Nous allons jeter un oeil à l’intérieur.

 

 

L’IMPACT DE VOTRE DON

Nous avons besoin de votre soutien pour mener à bien le programme Soar TV et inspirer les jeunes filles de la région MENA.

 

Votre don permettra :

  • À l’équipe de production / rédaction de Soar TV de développer et diffuser du contenu toutes les semaines
  • Au service de traduction et de sous-titrage de traduire le darija et l’arabe moderne en anglais
  • Le développement de stratégies publicitaires, sur Youtube et Facebook notamment, pour atteindre un plus grand nombre de filles, optimiser leur engagement et la portée des messages diffusés
  • Le suivi et l’évaluation de l’impact médiatique et sa portée en termes d’engagement

 

« Lorsque vous investissez pour les filles, vous investissez pour les familles.
Lorsque vous investissez pour les familles, vous investissez pour les communautés.
Lorsque vous investissez pour les communautés, vous investissez pour les nations
et alors vous pouvez changer le monde ! »

 

 

 

 

Donner la vie grâce aux « SisterFriends » : des soins et du soutien pour les mères et leur bébés pendant et après la grossesse

C’est le BON moment de faire un DON ! 

Toutes les donations de ce projet seront doublées !

LE DÉFI

 

Des centaines de milliers de femmes meurent chaque année pendant leur grossesse ou leur accouchement. Pourtant, la plupart de ces décès pourraient être évités. Si la majorité des décès maternels surviennent dans les pays en développement du fait de la pauvreté et de l’inégalité d’accès aux services médicaux, la mortalité maternelle et infantile reste problématique dans certains pays à revenu élevé. En effet, face aux complications liées à la grossesse, les femmes ne bénéficient pas toujours des soins vitaux dont elles ont besoin.

 

Concernés par cette tragédie, les États-Unis sont en effet l’un des deux seuls pays développés au monde dont le taux de mortalité maternelle a augmenté depuis 1990. Chaque année, les complications liées à la grossesse entraînent la mort de plus de 700 femmes aux États-Unis et causent la majorité des décès infantiles. Les communautés afro-américaines et hispaniques sont les plus touchées.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

 

Le partenaire de terrain de W4, Birthing Project USA, gère le programme « SisterFriends » qui repose sur une approche innovante impliquant les membres d’une même communauté partout où il opère. À travers les États-Unis, ce programme mobilise des femmes, meneuses au sein de leur communauté, et les forme à devenir des mentors SisterFriends pour d’autres jeunes femmes afro-américaines enceintes. Les SisterFriends transmettent alors aux femmes enceintes des informations, des conseils et un soutien déterminants pendant et après leur grossesse. L’enjeu est d’améliorer l’état de santé des mères et de leurs bébés, et de réduire la mortalité maternelle et infantile.

 

En plus d’apporter aux futures mères une assistance sociale indispensable, le programme SisterFriends encourage les jeunes femmes à poursuivre leurs études et établir des activités génératrices de revenus afin qu’elles accèdent à un revenu stable et durable. Le programme leur offre ainsi divers services médicaux, légaux et sociaux.

L’IMPACT DE VOTRE DON

 

Votre don permettra à des femmes enceintes et jeunes mères, à travers le programme de formation SisterFriends, d’avoir accès à des soins et un soutien fondamentaux pendant et après leur grossesse. En contribuant au financement de la formation de nouvelles SisterFriends, vous aidez à agrandir ce réseau de mentors et permettez ainsi à des futures mères afro-américaines de bénéficier de conseils médicaux, de ressources, d’un soutien et d’un amour déterminants qui optimisent leur état de santé et celui de leurs bébés. Chaque session assure la formation de dix SisterFriends par des professionnels de santé qualifiés.

 

Soutenez SisterFriends avec nous partout à travers les États-Unis, un mouvement fondé sur l’esprit de communauté qui est vecteur de profondes transformations pour la protection de la vie des femmes afro-américaines et de leurs bébés !

 

Agriculture biologique W4.org

Formation professionnelle en agriculture biologique pour des femmes issues des quartiers pauvres de Douala, au Cameroun

LE DÉFI

Plus de 80 %[1] des femmes habitant les zones périurbaines de la ville de Douala, au Cameroun, vivent dans l’extrême pauvreté. Sans compétences ni opportunités de travail dans la région, beaucoup de femmes des quartiers défavorisés ne disposent pas d’un revenu suffisant pour vivre décemment avec leurs familles. Cet éloignement du marché de l’emploi maintient les femmes dans une situation de dépendance et entrave leur liberté.

 

Pour survivre, ces femmes sont nombreuses à travailler dans le secteur de l’agriculture, en particulier la culture de la tomate, l’un des fruits les plus consommés au Cameroun (et à l’étranger), que les femmes vendent ensuite sur les marchés locaux. Les femmes dépendent de cette activité pour gagner un salaire et nourrir leur famille. Cependant, les connaissances et moyens techniques de conservation dont disposent les femmes sont insuffisants. Quand vient la saison sèche ; les tomates pourrissent vite, les invendus augmentent nettement et les femmes perdent une grande partie de leur production. Les femmes se retrouvent alors sans aucun revenu à devoir lutter pour répondre à leurs besoins fondamentaux et ceux de leur famille.

 

[1] Statistique provenant du plan stratégique du projet, document fourni par Rose, page 5

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de terrain de W4, Reso Collect, œuvre pour l’autonomisation des femmes des zones périurbaines marginalisées de la ville de Douala en les formant professionnellement à la culture, la transformation et la vente de tomates biologiques. Le programme vise à fournir aux femmes les compétences techniques et commerciales dont elles ont besoin pour s’engager dans une activité agricole durable et vendre leurs produits à travers une coopérative. Ce projet permet aux femmes de gagner un salaire décent grâce à la commercialisation de produits biologiques transformés vendus à des prix compétitifs sur les marchés locaux et étrangers.

 

Actrices de leur changement de vie, ces femmes sont présentes à toutes les étapes de la chaîne : elles cultivent les tomates (selon les principes de l’agriculture biologique), les vendent ou les transforment afin de conserver les invendus, et commercialisent les produits finis sur les marchés. Le travail des femmes est ainsi valorisé et leur permet de bénéficier de leur récolte tout au long de l’année. Grâce à ces compétences nouvellement acquises, les femmes peuvent proposer sur les marchés des produits sains, cultivés localement sans engrais ni pesticides. Elles agissent donc très concrètement pour une meilleure nutrition de tous les membres de la communauté.

 

Dans le cadre du programme de formation, les femmes bénéficient aussi d’une large gamme de services socio-éducatifs visant à améliorer les conditions de vie des femmes et des jeunes filles socialement et économiquement défavorisées. Un espace de rencontre et de travail est mis à disposition des femmes et divers ateliers leur sont proposés (cours d’alphabétisation, ateliers de couture, groupes de discussion, etc.) dans l’objectif de promouvoir l’éducation et l’autonomisation des femmes tout en favorisant leur intégration dans la communauté de quartier et la société.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Donner à ce projet, c’est permettre aux femmes défavorisées d’accéder à un programme de formation leur permettant d’acquérir les connaissances et compétences dont elles ont besoin pour trouver un emploi durable et décent. La garantie d’un salaire leur permet de nourrir leur famille avec des produits sains et locaux mais aussi de trouver leur place dans la communauté. En effet, au-delà de l’insertion des femmes dans la vie économique, ce projet aide les femmes extrêmement pauvres à retrouver leur dignité et à s’épanouir à travers une activité génératrice de revenus et leur participation à des projets éducatifs.

 

Lutte pour l’autonomisation des femmes, réduction de l’extrême pauvreté et protection de l’environnement, les répercussions de ce projet communautaire sont à la fois immédiates et durables. En améliorant les conditions de vie des femmes, ce sont leur famille et la communauté toute entière qui en bénéficient !

20 QUESTIONS TO WOMEN

LE DÉFI

 

Ces dernières années ont soulevé bon nombre d’interrogations sur la perception de la femme dans la société, interrogations relayées par les médias, les réseaux sociaux et les personnalités du monde entier. Mais ces interrogations sont noyées dans un océan de contenus et d’avis contradictoires qui brossent un portrait plutôt pessimiste du monde. Submergées d’informations, nous percevons néanmoins des changements positifs à notre échelle de jeunes étudiantes. De plus en plus de gens s’interrogent et s’engagent pour façonner une société plus égalitaire, respectueuse et durable.

 

La construction de cette société idéale nécessite une meilleure écoute et une meilleure compréhension des femmes. Pourquoi ? Parce qu’elles vivent des expériences propres qui restent peu comprises : discriminations de genre, maternité, rapport au corps, accès à l’éducation, etc. 

 

Qu’est-ce qu’être une femme aujourd’hui ? Quel est son ressenti sur l’égalité de genre ? Nous interrogerions-nous de cette manière si nous étions nées ailleurs ? Notre génération est-elle synonyme d’un changement durable ?

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Ces réponses, nous devons aller les chercher auprès de nos paires. Nous voulons brosser des portraits de femmes aux profils sociologiques variés, afin de mieux les comprendre et véhiculer des messages d’unité et d’ouverture. Nous recueillerons ainsi des données sociologiques permettant également d’analyser des tendances.

 

      1. Notre projet

Nous consacrons 6 mois à la réalisation de ce projet. Nous le débutons en France et nous avons choisi de partir ensuite en Asie, ce continent incroyablement riche et diversifié en termes de développement, de systèmes politiques et religieux, d’organisation de la société. Ce voyage nous permettra de collecter les données les plus complètes possibles. Ce projet a vocation à s’étendre et à perdurer après ces 6 mois.

 

      2. Des reportages humanistes : 20 Questions to Women

  • 20 Questions to Women est une série d’interviews filmées dans lesquels nous posons les mêmes 20 questions à toutes les femmes que nous rencontrons. Ces 20 questions abordent les différents thèmes de la féminité : famille, travail, maternité, éducation, corps … Nous comptons réaliser environ 150 interviews durant ces 6 mois.
  • Nous ferons également une série d’interviews pour mettre en avant le parcours de certaines femmes particulièrement inspirantes.
  • Les réponses récoltées feront l’objet de montages et de vidéos afin de transmettre de manière neutre ce que vivent et pensent les femmes.
  • Ces vidéos seront diffusées sur les plateformes de l’association 20 Questions to the World et relayées par nos partenaires.

 

       3. Une étude sociologique

Ces interviews seront aussi l’occasion de récolter des données sociologiques. Cela nous permettra d’analyser par la suite les tendances (comportements, peurs, ressentis …) qui émergent des réponses à nos 20 questions.

 

Les femmes interviewées ont un potentiel immense pour véhiculer des messages de force et d’optimisme !voir site

 

L’IMPACT DE VOTRE DON

En contribuant à 20 Questions to Women, vous permettez aux femmes et aux hommes de découvrir, par nos interviews, une manière plus authentique d’appréhender le monde et de s’intéresser aux questions de genre. D’autre part, vous contribuez à apporter aux femmes interviewées une plateforme d’expression unique, apolitique, qui s’intéresse aux expériences qui les façonnent en tant que femmes.

 

Pourquoi nous financer ?

Cette campagne, en partenariat avec W4, a pour but de financer la préparation et le bon déroulé de ce projet : matériel audiovisuel, formation vidéo etc. Tout don est le bienvenu, même le plus petit ! Le budget total est d’un peu plus de 12 000€.

 

Les dons effectués sur la plateforme W4 sont déductibles d’impôts en France (reçu fiscal de 66% du montant du don). Pour plus d’informations, veuillez consulter notre FAQ.

 

QUI SOMMES -NOUS ?

Nous sommes deux jeunes étudiantes en année de césure, Diane et Capucine. Nous nous sommes rencontrées en prépa : Diane est maintenant étudiante en Master Peace Studies à l’Université Paris-Dauphine et Capucine est étudiante en Master in Management à l’ESCP Europe. 

 

                                                        

 

                                                                            Un grand merci !

 

 

            

                                           Nous contacter : 20questionstowomen@gmail.com
                                                                       Facebook : voir page
 
                                     
 

 

Coding for girls in Pakistan

Enseigner le codage aux filles au Pakistan pour favoriser leur autonomie et leur intégration dans l’industrie technologique

LE DÉFI

Au Pakistan, l’autonomisation des filles et des femmes est un chemin semé d’embûches : opportunités d’éducation limitées, normes sociales restrictives et discrimination sexuelle notamment. Ces résistances font sévèrement entrave aux filles et aux femmes des communautés défavorisées. En effet, le Pakistan se classe à l’avant dernière place du classement relatif à la parité des genres établi par le Forum économique mondial dans son rapport annuel sur les inégalités entres femmes et hommes. Bien que les femmes représentent la moitié de la population, elles sont nettement sous-représentées dans la population active.

 

Le Pakistan est également classé très bas (146ème pays sur 149) en termes de participation et d’opportunités économiques pour les femmes : seules 26,3% des femmes participent au marché du travail contre 85,8% des hommes. Avec le virage numérique pris par le pays et la transformation économique profonde que cela implique, accéder à des opportunités d’emploi dans le secteur formel exige de plus en plus de compétences informatiques. Le secteur des TIC (technologies de l’information et de la communication) est en expansion et génère une croissance des offres d’emploi mais il demeure largement dominé par les hommes. 

 

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de terrain de W4 basé à Karachi, CodeGirls Pakistan, offre aux filles et aux femmes (âgées de 15 à 30 ans) l’accès à une formation informatique innovante et adaptée. Celle-ci favorise l’inclusion numérique des filles et des femmes, leur accès à un emploi formel et leur participation au secteur technologique. Le programme, qui n’exige pas de connaissances ou d’expériences préalables en informatique, permet aux filles et aux femmes de bénéficier d’un large éventail d’enseignements techniques en informatique mais aussi de cours et d’ateliers portant sur la finance, l’entrepreneuriat, la sensibilisation au harcèlement ou encore le droit du travail. Les participantes au programme sont en contact avec des professionnel(le)s de l’informatique dont beaucoup sont des femmes et représentent des modèles dont elles peuvent s’inspirer.

 

L’objectif global est de permettre aux filles et aux femmes d’acquérir les compétences techniques en informatique requises par les entreprises du secteur et les connaissances générales nécessaires à l’exercice d’une carrière dans le secteur des technologies. Comme le souligne CodeGirls, ce secteur est au regard de l’égalité des genres « un excellent niveleur, plutôt lucratif, qui offre plus d’opportunités aux femmes et un environnement professionnel comparativement plus accueillant. »

 

Phase 1 :

  • 101 heures d’ateliers de codage ; HTML, CSS, Javascript de base et Jquery
  • 24 heures d’ateliers divers (compétences commerciales et générales). 

 

Phase 2 :

  • 101 heures de formation tech : Programmation avancée, assurance qualité logicielle, développement WordPress et conception graphique.
  • 24 heures de formation non-tech : Préparation au marché du travail, communication d’entreprise, auto-entrepreneuriat, pensée créatrice.

 

Phase 3 :

  • 125 heures de formation dédiée à l’auto-entrepreneuriat pour permettre aux participantes de développer leurs propres activités génératrices de revenus.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Votre don permet aux filles et aux femmes issues de familles défavorisées de Karachi, au Pakistan, de bénéficier de l’opportunité sans précédent de se former en informatique à travers un apprentissage à la fois technique et général. Grâce à ce programme, les filles et les femmes peuvent acquérir les compétences indispensables pour accéder à un emploi formel, notamment dans le secteur des technologies, ou pour créer leur propre activité ou entreprise indépendante. Partout à travers le monde, l’importance de l’éducation, de la formation et de la participation des femmes à l’emploi formel, notamment dans le secteur technologique, est de plus en plus reconnue.

 

Votre don contribue à l’autonomisation sociale et économique des filles et des femmes ; il permet aux femmes et à leur famille d’améliorer leur niveau de vie et contribue plus largement à changer de façon positive les mentalités et les normes culturelles à travers l’augmentation du nombre de femmes sur le marché de l’emploi formel et dans le secteur technologique.

Fournir des biens de première nécessité – eau potable, savon pour se laver les mains & masques – pour les jeunes filles & les femmes des projets de terrain de W4, ainsi que leurs familles

LE DÉFI

Partout dans le monde, les mesures prises pour endiguer l’épidémie de Covid-19 ont des conséquences économiques lourdes. Elles affectent plus sévèrement les communautés défavorisées, comme celles  des femmes et jeunes filles qui participent aux programmes de formation, d’éducation et de création de revenus de W4. Avant la pandémie, les familles de ces jeunes filles et femmes vivaient déjà sous le seuil de pauvreté (d’$1.90 par jour), luttant pour survivre tout en faisant face à des obstacles considérables. Les programmes de formation et de création de revenus offrent à ces jeunes filles et femmes l’opportunité d’acquérir des compétences et des qualifications nécessaires pour obtenir un emploi formel. Ceci leur permet de pouvoir déterminer leur propre futur, et de briser le cercle de pauvreté dans lequel leurs familles ont été prises au piège. 

 

L’épidémie du Covid-19 a rendu les conditions de vie encore plus difficiles pour les étudiantes (ainsi que leurs familles et communautés) des programmes de W4. Le Cameroun, les Philippines, le Népal, le Kenya, la Tanzanie, la RDC, ainsi que d’autres pays où intervient W4 ont pris des mesures de confinement. De fait, d’innombrables personnes dont les uniques sources de revenus provenaient d’activités informelles se retrouvent subitement sans salaire. La plupart des parents des filles et jeunes femmes participant aux programmes de W4 ont un travail informel, sont des travailleurs journaliers, faisant de leur mieux pour gagner des revenus vitaux pour nourrir leurs familles. Alors que les prix des denrées de bases ont augmenté, leur accès aux biens de première nécessité comme la nourriture et l’eau est désormais encore plus limité.

 

Au Népal par exemple, l’accès aux installations sanitaires de base était déjà un obstacle de taille pour nos étudiantes, puisque beaucoup de maisons n’ont pas l’eau courante, même dans la capitale du pays, Katmandou. Désormais, les parents de nos étudiantes népalaises ne peuvent plus travailler en raison des mesures de confinement dans le pays. Sans aucune assurance chômage ni économies, ces familles font maintenant face à la double menace du virus lui-même, ainsi qu’à la difficulté croissante d’avoir accès à de la nourriture et de l’eau. 

 

Dans leurs efforts pour limiter la propagation du Covid-19, les gouvernements conseillent ou obligent les populations à prendre des mesures de précaution telles que le lavage régulier des mains, le respect des consignes de distanciation sociale, ou encore le port du masque. Mais pour beaucoup des filles et femmes des programmes de W4, lorsqu’elles ne sont pas aux centres de formation – où elles ont accès à des repas et à des installations sanitaires – il est très difficile pour elles d’appliquer ces mesures de précaution. Vivant avec leurs familles dans des espaces restreints, elles n’ont malheureusement accès ni à l’eau courante ni à des infrastructures sanitaires. De plus, pour beaucoup de ces familles le prix du savon et d’un lavage des mains régulier est prohibitif, rendant impossible le respect des mesures de précaution nécessaires. 

 

Au Cameroun, les jeunes filles et femmes de nos programmes sont issues de familles pauvres qui n’ont pas accès à l’eau courante. En effet, beaucoup d’entre elles vivent dans des camps de personnes déplacées. Il est extrêmement difficile pour les jeunes filles et femmes vivant dans des quartiers pauvres, dans des bidonvilles et camps de réfugiés, d’appliquer les précautions d’hygiène et de sécurité recommandées pour protéger leur santé et limiter la propagation de la pandémie.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Notre équipe collecte des dons afin de soutenir les filles et les jeunes femmes de nos programmes de formation, ainsi que leurs familles, durant cette période critique du Covid-19. Nous appelons aux dons dans le but de permettre à nos équipes locales de distribuer des produits essentiels dont les étudiantes et leurs familles ont urgemment besoin afin de pouvoir se protéger et ainsi limiter la propagation du virus Covid-19: des biens alimentaires, de l’eau, du savon, des masques réutilisables, mais aussi une assistance médicale dans le cas où nos étudiantes seraient infectées par le virus. 

L’IMPACT DE VOTRE DON

Votre don financera l’approvisionnement vital de filles, femmes et familles issues de communautés extrêmement vulnérables. En aidant à fournir ce matériel de base – incluant de l’eau pour la consommation et le lavage des mains; du savon; des masques réutilisables; des produits alimentaires de base; et une assistance médicale si nécessaire – vous leur permettrez de se protéger des maladies et ainsi de limiter au maximum la propagation du Covid-19 au sein de leurs familles en ces temps de difficultés accrues.


Grâce à vous, ces filles, jeunes femmes et leurs familles recevront les biens de première nécessité dont elles ont désespérément besoin afin de faire face à la crise sanitaire globale qui nous affecte tous. Cela permettra également aux filles et aux jeunes femmes des programmes de W4 de poursuivre leur éducation et de leur formation, ce qui représente le moyen le plus sûr, non seulement pour elles et leurs familles, mais leurs communautés toutes entières, de sortir de la pauvreté.

 

NOTE :

100% de vos dons seront alloués au financement de ces biens de première nécessité. L’un des engagements essentiels de W4 est d’assurer la transparence et le suivi sur le terrain de l’impact de chaque don. Nous sommes impatients de vous envoyer dans les mois à venir un rapport détaillé du programme que vous soutenez, avec des informations sur le changement et le progrès permis par votre don pour les filles, les femmes et la communauté en général.

 

Apprenez-en plus sur les programmes de formation et de création de revenus de W4 mentionnés ci-dessus ici :

 

Notre programme au Népal

Notre programme au Cameroun

Notre programme au Kenya

Notre programme en Tanzanie

Notre programme en RDC

Notre programme aux Philippines

Women During COVID-19

Favoriser l’autonomisation des femmes au Guatemala durant le Covid-19

 

 

C’est le BON moment de faire un DON ! 

Tous les dons à ce projet seront doublés !

LE DÉFI

Depuis 1998, Friendship Bridge donne aux femmes des zones rurales du Guatemala les moyens de se construire une vie meilleure en leur donnant accès au microcrédit, à l’éducation et aux services de santé. Les femmes dans le programme sont fortes et pleines de ressources, mais géographiquement marginalisées, vivant dans des régions isolées où les moyens de transport sont insuffisants.

 

Pendant la crise du Covid-19, il est devenu encore plus difficile pour le personnel de Friendship Bridge de se rendre au domicile des femmes pour y dispenser leurs services et programmes. Avec la mise en place d’importantes restrictions de voyage, et dans l’objectif de faire primer les préoccupations de sécurité dans la prise de décision, l’organisation a dû rapidement transitionner vers des opérations effectuées à distance.

 

Par chance, Friendship Bridge a pu continuer à soutenir les femmes des zones rurales du Guatemala de manière créative tout au long de la crise. Au cours des mois d’avril et de mai, les équipes ont restructuré tous les microcrédits pour permettre aux entrepreneures de bénéficier de délais de remboursement étendus et de taux d’intérêts réduits. Peu après, les équipes ont mis en place un programme de suivi médical à distance via des téléphones portables, ont lancé un serveur intranet en ligne pour faciliter la collaboration au sein du personnel, et ont passé des centaines d’appels téléphoniques à visée préventive.

 

Les mesures de confinement au Guatemala ont évidemment eu un impact négatif direct sur la capacité des femmes qui participent aux programmes de Friendship Bridge à générer des revenus, à nourrir leurs familles et à rembourser leurs prêts à l’organisation. 

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Votre don apporte un soutien à Friendship Bridge afin que l’organisation puisse continuer à fournir les services suivants à plus de 32 000 femmes au Guatemala pendant la crise du Covid-19 : 

 

  • Accès aux soins de santé : Le programme “Health for Life” de Friendship Bridge s’attaque spécifiquement aux problèmes de soins préventifs auxquels les femmes sont le plus souvent confrontées. Les infirmières offrent des examens, des consultations ainsi que d’autres services adaptés à la culture locale et dispensés en langues autochtones. En réponse à la pandémie du Covid-19, un modèle de suivi médical à distance a été récemment lancé pour accompagner les femmes par téléphone, afin de discuter de leurs symptômes et de répondre à leurs préoccupations, en fonction des besoins. 
  • Opportunités économiques : La plupart des femmes accompagnées par Friendship Bridge sont des propriétaires de petites entreprises, qui génèrent des revenus en tant qu’artisanes, gérantes de petits magasins ou agricultrices. Même pendant la pandémie, Friendship Bridge maintient une communication régulière avec ses bénéficiaires par téléphone, leur permettant ainsi de bénéficier de solutions pour leurs entreprises et d’avoir accès aux détails de leurs microcrédits afin de les aider à se maintenir à flot. Grâce à une série de vidéos informatives envoyées via WhatsApp, le personnel de Friendship Bridge conseille les femmes sur les meilleurs moyens pour continuer à vendre leurs produits artisanaux et produire en toute sécurité dans leur communauté, afin de continuer à générer des revenus et à épargner.  
  • Accès à l’éducation : L’éducation non-formelle est le pilier du programme de Friendship Bridge. Avec plus de 170 employés au Guatemala qui ne peuvent plus se déplacer chaque mois à pied, en bateau, en bus ou à moto, ces derniers utilisent désormais les appels téléphoniques pour sensibiliser les populations à des sujets relatifs à la santé, aux droits des femmes, à la famille et à l’entrepreneuriat. Leur programme éducatif est unique et répond aux besoins des femmes dans le programme, en prenant en compte le fait qu’en moyenne, ces femmes n’ont suivi que 3 ou 4 années d’éducation formelle et ne savent ni lire, ni écrire, ni parler espagnol, la langue officielle du Guatemala.

L’IMPACT DE VOTRE DON

Friendship Bridge a déjà récolté des témoignages de femmes au Guatemala sur l’impact du programme pendant cette période. “Je suis très reconnaissante envers Friendship Bridge car j’ai reçu des appels pour m’encourager, pour continuer à me conseiller quant aux mesures de prévention prises par le gouvernement”, a déclaré Jessica, 27 ans. Jessica est mariée, mère de deux enfants, et bénéficiaire de Friendship Bridge depuis 2017. Elle a exprimé les difficultés qu’elle rencontre actuellement dans sa communauté suite à la hausse des prix des denrées alimentaires, des produits de première nécessité et le manque d’opportunités commerciales dû à la fermeture des transports publics et des marchés. “Plusieurs femmes comme moi sont tisseuses et brodeuses. Maintenant, nous n’avons nulle part où vendre nos produits. J’ai déjà terminé 3 huipils (habit traditionnel du Guatemala), mais je ne peux pas quitter mon quartier pour aller livrer mes clients à cause de la surveillance policière”, a-t-elle déclaré. “Friendship Bridge m’a donné des solutions pour mes prochains paiements. Que Dieu vous bénisse tous et prenez soin de vous, car ensemble, nous réussirons”.

POURQUOI FAIRE UN DON ?

Pour la 8ème année consécutive, Women’s WorldWide Web (W4), partenaire de Friendship Bridge, soutient les femmes du Guatemala en doublant généreusement tous les dons à Friendship Bridge jusqu’au seuil de 20 000 dollars, du 15 juin au 15 juillet ! Cela signifie que votre contribution double de valeur, au moment où les communautés locales en ont le plus besoin. 

 

Votre don contribue à transformer la vie des femmes au Guatemala. Les bénéficiaires de Friendship Bridge apprennent à gérer leurs petites entreprises et à investir dans leurs familles, ce qui leur garantit un avenir meilleur et plus sain pour elles-même et pour leurs enfants. En faisant un don à Friendship Bridge, vous faites partie de la solution pour mettre fin à la pauvreté, même pendant la crise du Covid-19.

Equiper les classes en ordinateurs

LE DÉFI

Dans les villages reculés du Vietnam, de nombreuses écoles enseignent l’informatique sans ordinateur ! À Ninh Phuoc par exemple, seuls 3 des 10 collèges disposent de quelques ordinateurs. Les enfants essaient donc de prendre des notes sans même avoir accès à un clavier. Le manque d’accès aux ordinateurs désavantage fortement les étudiantes des zones rurales. Les étudiantes des villes ont bien plus d’opportunités d’acquérir des compétences en informatique mais aussi en anglais et, par conséquent, de meilleures chances d’entrer à l’université ou dans une école professionnelle. Les filles originaires de communautés rurales pauvres sont freinées parce qu’elles n’ont pas accès aux ordinateurs ni à des formations convenables aux compétences numériques.

En outre, les parents dans les communautés rurales et défavorisées sont réticents à laisser leurs filles quitter le village. Les filles ont tendance à abandonner l’école avant d’avoir terminé le lycée et à se marier très tôt. Malheureusement, ces facteurs maintiennent les filles des communautés rurales pauvres prisonnières du cercle vicieux de la pauvreté.

LES SOLUTIONS QUE NOUS PROPOSONS

Le partenaire de W4, Mékong Plus, soutient l’accès des élèves à une formation aux compétences numériques dans les zones rurales en équipant les écoles d’ordinateurs (d’une valeur unitaire de 175 dollars environ) et en formant des techniciens de maintenance informatique. Un seul ordinateur peut bénéficier à des dizaines d’élèves ! Les écoles suivent le programme habituel comprenant une formation en informatique qui, bien sûr, devient bien plus efficace avec un accès à un ordinateur et un clavier.

Voir cette vidéo pour en apprendre plus : youtube.com/watch?v=FNaA4WTXBQk

L’IMPACT DE VOTRE DON

Les filles qui possèdent des connaissances de base en informatique ont beaucoup plus de chances de poursuivre leurs études jusqu’au lycée puis d’entrer dans une école professionnelle ou même à l’université. Avec les compétences numériques de base qu’elles acquièrent, les élèves peuvent naviguer sur Internet et accéder à de nombreuses ressources éducatives en ligne, ce qui leur permet aussi d’améliorer leurs compétences en anglais. Concrètement, votre don contribuera à financer l’achat d’ordinateurs et la formation en maintenance informatique des enseignants dans les écoles des zones rurales pauvres du Vietnam. Cela permettra aux filles des communautés rurales défavorisées de se doter de compétences numériques essentielles qui augmenteront leurs chances de réussite tout au long de leur parcours scolaire et, plus tard, faciliteront l’accès des jeunes femmes à l’emploi formel.